Une liste de 17 officiers et sous-officiers de la gendarmerie pour une formation au Maroc circule cette semaine sur les réseaux sociaux. Zéro négro-africain et harratine parmi les retenus.
Cette discrimination raciale à ciel ouvert indigne encore une fois les observateurs. Ce cas de 17 officiers et sous-officiers de la gendarmerie tous issus d’une même communauté suscite de vives critiques sur les réseaux sociaux cette semaine. Ce qui soulève des interrogations sur l’équité de cette formation au Maroc. Cette discrimination porte un coup dur à l’unité nationale et à la cohésion sociale. La discrimination dans les concours de recrutement de tous les corps (forces armées et de sécurité) ne date pas d’aujourd’hui.
Ce débat dépasse le cadre des concours et touche à des enjeux profonds de justice sociale, de transparence administrative et de cohésion nationale. Les nominations monocolores du chef de l’exécutif sont sans précédent depuis son accession au pouvoir en 2019. Des voix s’élèvent pour critiquer ce racisme d’Etat qui alimente une crise identitaire. Les observateurs pointent une bombe à retardement si les inégalités ne sont pas traitées.
Cherif Kane
Journaliste
Source : Kassataya
Cette discrimination raciale à ciel ouvert indigne encore une fois les observateurs. Ce cas de 17 officiers et sous-officiers de la gendarmerie tous issus d’une même communauté suscite de vives critiques sur les réseaux sociaux cette semaine. Ce qui soulève des interrogations sur l’équité de cette formation au Maroc. Cette discrimination porte un coup dur à l’unité nationale et à la cohésion sociale. La discrimination dans les concours de recrutement de tous les corps (forces armées et de sécurité) ne date pas d’aujourd’hui.
Ce débat dépasse le cadre des concours et touche à des enjeux profonds de justice sociale, de transparence administrative et de cohésion nationale. Les nominations monocolores du chef de l’exécutif sont sans précédent depuis son accession au pouvoir en 2019. Des voix s’élèvent pour critiquer ce racisme d’Etat qui alimente une crise identitaire. Les observateurs pointent une bombe à retardement si les inégalités ne sont pas traitées.
Cherif Kane
Journaliste
Source : Kassataya
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