
L’opération de rafle des étrangers, notamment les africains de ‘l’ouest qui ne disposent pas de cartes de séjour, est désormais la question à la Une des salons feutrés de Nouakchott. Et les positions des uns et des autres sur la question est très souvent contradictoires si elles ne sont conflictuelles. Au grand dam de la morale, de l’éthique voire des principes qui fondent la clairvoyance, ce que nous entendons par-ci et par là, n’incite pas à l’optimisme.
Autant, certains des contradicteurs pensent qu’il s’agit d’une croisade menée contre certains de nos fils qui ont décidé d’aller chercher fortune hors du pays. Parce que, dans nombre de pays africains, il est de plus en plus fait état de la règle de la réciprocité.
Le temps est donc venu de revoir cette mesure qui porte sur la légalisation du séjour chez nous, des étrangers qui ont décidé de vivre parmi nous. Un peu de souplesse ne nuit point. Il y va pour notre sécurité et il y va pour la sécurité des nôtres, qui sont en train de réussir dans les pays étrangers. Malheureusement, au lieu de désamorcer la bombe, certains soi-disant intellectuels, malintentionnés usent de cette polémique pour envenimer les relations entre notre pays et certains pays voisins. Plus grave, entre nos différentes communautés.
L’image offerte à ceux d’une Mauritanie puante d’intolérance, de racisme, de renégats et des tribus qui ne savent que se chamailler. C’est la Mauritanie de la haine, de la démesure et de l’égarement. Les intellectuels ou ceux qui prétendent l’être ne doivent pas entretenir la haine entre notre pays et certains pays d’Afrique noire. Ils ne doivent pas abreuver le champ d’insultes et de propagation de la haine raciale.
Les Mauritaniens ne sont pas obligés d’être tous d’accord sur une option ou sur une autre. Mais, à la limite, ils doivent se respecter quelles que soient leurs divergences. Le monde qui est curieux de nous connaître ou de découvrir notre pays et son peuple ne tardera pas à nous tourner le dos après une heure de recherche sur notre pays. Tellement l’image que nous donnons de nous-mêmes est négative.
Trahir son pays n’est pas seulement le vendre à l’étranger, détourner les derniers publics, faire l’apologie, pratiquer la discrimination. Est aussi un acte grave et dangereux de trahison, le fait de souffler sur les braises de la division. Comme le font certains sites sur net. Aussi bien en français qu’en arabe.
Les discussions qui finissent par des insultes, révoltent. Elles ne nous siéent pas. Et nous répugnons ceux qui continuent de tirer sur les fibres linguistiques ou épidermiques. .
Leur place est ailleurs. En tout cas, pas en Mauritanie. Parce qu’ils ne sont pas pour la Mauritanie.
MOMS
Source: http://lauthentic.info
Autant, certains des contradicteurs pensent qu’il s’agit d’une croisade menée contre certains de nos fils qui ont décidé d’aller chercher fortune hors du pays. Parce que, dans nombre de pays africains, il est de plus en plus fait état de la règle de la réciprocité.
Le temps est donc venu de revoir cette mesure qui porte sur la légalisation du séjour chez nous, des étrangers qui ont décidé de vivre parmi nous. Un peu de souplesse ne nuit point. Il y va pour notre sécurité et il y va pour la sécurité des nôtres, qui sont en train de réussir dans les pays étrangers. Malheureusement, au lieu de désamorcer la bombe, certains soi-disant intellectuels, malintentionnés usent de cette polémique pour envenimer les relations entre notre pays et certains pays voisins. Plus grave, entre nos différentes communautés.
L’image offerte à ceux d’une Mauritanie puante d’intolérance, de racisme, de renégats et des tribus qui ne savent que se chamailler. C’est la Mauritanie de la haine, de la démesure et de l’égarement. Les intellectuels ou ceux qui prétendent l’être ne doivent pas entretenir la haine entre notre pays et certains pays d’Afrique noire. Ils ne doivent pas abreuver le champ d’insultes et de propagation de la haine raciale.
Les Mauritaniens ne sont pas obligés d’être tous d’accord sur une option ou sur une autre. Mais, à la limite, ils doivent se respecter quelles que soient leurs divergences. Le monde qui est curieux de nous connaître ou de découvrir notre pays et son peuple ne tardera pas à nous tourner le dos après une heure de recherche sur notre pays. Tellement l’image que nous donnons de nous-mêmes est négative.
Trahir son pays n’est pas seulement le vendre à l’étranger, détourner les derniers publics, faire l’apologie, pratiquer la discrimination. Est aussi un acte grave et dangereux de trahison, le fait de souffler sur les braises de la division. Comme le font certains sites sur net. Aussi bien en français qu’en arabe.
Les discussions qui finissent par des insultes, révoltent. Elles ne nous siéent pas. Et nous répugnons ceux qui continuent de tirer sur les fibres linguistiques ou épidermiques. .
Leur place est ailleurs. En tout cas, pas en Mauritanie. Parce qu’ils ne sont pas pour la Mauritanie.
MOMS
Source: http://lauthentic.info