Hier la France, ensuite l’Espagne et le Mali sans connaître les batailles vaillamment menées à l’intérieur du pays. Assurément le président Ould Abdel Aziz est sur tous les fronts. L’homme croit dur comme fer à une Mauritanie nouvelle débarrassée des adeptes de la corruption et du gaspillage injustifié ainsi que des affres du sous développement et de l’ignorance.
Une Mauritanie où les questions élémentaires de l’approvisionnement en eau potable, en électricité ou encore où les services de l’éducation et de la santé, droits essentiels s’il en est, ne se posent plus aux mauritaniens qui disposent de suffisamment de richesses pour réaliser ces objectifs si elles, ces richesses étaient judicieusement gérées. C’est là l’esprit des mesures d’assainissement prises par les plus hautes autorités du pays. A commencer par le parc automobile administratif à la rationalisation des dépenses liées au communication téléphonique en passant par les factures souvent salées d’eau et d’électricité prises en charge par l’Etat sans aucun motif valable.
Ce combat qui sortira la Mauritanie de l’obscurité et de la pauvreté ; à la fois noble et exaltant est tout de même difficile. Pourquoi ? Pour la simple raison que bien peu de cadres y croient à commencer par ceux auxquels le président Mohamed Ould Abdel Aziz accorde la plus grande confiance. C’est pourquoi, les limogeages enregistrées ces derniers temps touchent beaucoup plus ses soutiens que ses adversaires politiques. Ce qui une fois encore montre qu’il ne s’agit guère d’une chasse à la sorcière comme l’ont soutenu certains milieux mal intentionnés et qui se retrouvent dans tous les bords politiques, à la fois au sein de la majorité qu’à l’opposition.
Faut-il alors importer des hommes et des femmes de l’étranger pour leur confier les affaires du pays au regard de la très grande déception et à la carence de nos responsables chaque fois pris la main dans le sac comme en témoigne les nombreuses injonctions de l’Inspection générale de l’Etat depuis qu’elle a retrouvé les coudées franches pour mener à bien sa mission de contrôle.
La question est certes caricaturale mais devant la déception il y a de quoi y penser. Pour être plus sérieux ; le président de la République, comme d’ailleurs il commence à le faire, doit choisir ses hommes sur la base de critères transparents et équitables comme la rectitude, l’expérience et la compétence
Mohamed Salem Ould Haiba
Source : Le veridique
Une Mauritanie où les questions élémentaires de l’approvisionnement en eau potable, en électricité ou encore où les services de l’éducation et de la santé, droits essentiels s’il en est, ne se posent plus aux mauritaniens qui disposent de suffisamment de richesses pour réaliser ces objectifs si elles, ces richesses étaient judicieusement gérées. C’est là l’esprit des mesures d’assainissement prises par les plus hautes autorités du pays. A commencer par le parc automobile administratif à la rationalisation des dépenses liées au communication téléphonique en passant par les factures souvent salées d’eau et d’électricité prises en charge par l’Etat sans aucun motif valable.
Ce combat qui sortira la Mauritanie de l’obscurité et de la pauvreté ; à la fois noble et exaltant est tout de même difficile. Pourquoi ? Pour la simple raison que bien peu de cadres y croient à commencer par ceux auxquels le président Mohamed Ould Abdel Aziz accorde la plus grande confiance. C’est pourquoi, les limogeages enregistrées ces derniers temps touchent beaucoup plus ses soutiens que ses adversaires politiques. Ce qui une fois encore montre qu’il ne s’agit guère d’une chasse à la sorcière comme l’ont soutenu certains milieux mal intentionnés et qui se retrouvent dans tous les bords politiques, à la fois au sein de la majorité qu’à l’opposition.
Faut-il alors importer des hommes et des femmes de l’étranger pour leur confier les affaires du pays au regard de la très grande déception et à la carence de nos responsables chaque fois pris la main dans le sac comme en témoigne les nombreuses injonctions de l’Inspection générale de l’Etat depuis qu’elle a retrouvé les coudées franches pour mener à bien sa mission de contrôle.
La question est certes caricaturale mais devant la déception il y a de quoi y penser. Pour être plus sérieux ; le président de la République, comme d’ailleurs il commence à le faire, doit choisir ses hommes sur la base de critères transparents et équitables comme la rectitude, l’expérience et la compétence
Mohamed Salem Ould Haiba
Source : Le veridique
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