La Société nationale industrielle et minière (SNIM) a annoncé un plan visant à porter la production de fer à 45 millions de tonnes par an d’ici 2031, pour atteindre 80 millions de tonnes à l’horizon 2045.
Cette vision s’appuie sur les déclarations de Mohamed Ould Hendo, responsable de la communication de la société, qui a précisé que le programme stratégique comprend trois phases successives, dont les détails ont été complétés par l’annonce faite par le directeur général de la société lors de la conférence économique Mauritanides.
Il a ajouté que la production de 45 millions de tonnes dépendra de la contribution de SNIM à hauteur de 24 millions de tonnes, en plus des 21 millions de tonnes provenant des projets d’Elowja et d’Atoumaï, en partenariat avec les sociétés Eclencor et Hadid Saudi Arabia.
Il a souligné l’existence de diverses sources pour atteindre la production de SNIM, notamment des mines existantes et d’autres nouvelles en cours d’étude, en mettant l’accent sur les initiatives de rationalisation des ressources afin d’augmenter les quantités produites.
Il a souligné que la réalisation de ces objectifs nécessite un approvisionnement en énergie à des prix raisonnables et le financement nécessaire, tandis que les autres éléments essentiels, tels que les ressources, l’expertise et les infrastructures, sont déjà disponibles.
Source: https://fr.saharamedias.net
Cette vision s’appuie sur les déclarations de Mohamed Ould Hendo, responsable de la communication de la société, qui a précisé que le programme stratégique comprend trois phases successives, dont les détails ont été complétés par l’annonce faite par le directeur général de la société lors de la conférence économique Mauritanides.
Il a ajouté que la production de 45 millions de tonnes dépendra de la contribution de SNIM à hauteur de 24 millions de tonnes, en plus des 21 millions de tonnes provenant des projets d’Elowja et d’Atoumaï, en partenariat avec les sociétés Eclencor et Hadid Saudi Arabia.
Il a souligné l’existence de diverses sources pour atteindre la production de SNIM, notamment des mines existantes et d’autres nouvelles en cours d’étude, en mettant l’accent sur les initiatives de rationalisation des ressources afin d’augmenter les quantités produites.
Il a souligné que la réalisation de ces objectifs nécessite un approvisionnement en énergie à des prix raisonnables et le financement nécessaire, tandis que les autres éléments essentiels, tels que les ressources, l’expertise et les infrastructures, sont déjà disponibles.
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