
L'inquiétude est à son comble avec la fin annoncée des opérations militaires pour tenter de retrouver vivant Michel Germaneau qu'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a menacé d'exécuter à partir de demain lundi.
A deux jours de cet ultimatum, une source au ministère français de la Défense a affirmé hier n'avoir « aucune preuve de vie » de l'otage.
Cet après-midi une source militaire mauritanienne a affirmé que « les opérations de traque et de ratissage se poursuivent contre les camps des terroristes d'Al-Qaida » dans plusieurs zones au Mali. Peu après, une source au ministère français de la Défense a ajouté que ce nouveau raid mauritanien, le deuxième en trois jours, avait pris fin, mais que l'armée française n'y avait pas participé. Vingt à trente militaires français étaient en revanche impliqués dans le premier raid de jeudi, selon cette source qui a précisé que son but était bien de libérer Michel Germaneau.
La fin annoncée de ces opérations militaires, qui ont fait sept morts parmi les membres d'Aqmi, selon un nouveau bilan donné de source militaire mauritanienne, renforce encore un peu plus l'inquiétude sur le sort de l'otage : des rumeurs faisant état de sa mort circulent déjà au Mali.
Aqmi, qui détient ce Français de 78 ans depuis le mois d'avril, a menacé de l'exécuter à compter de lundi si ses militants prisonniers dans la région n'étaient pas libérés.
Source: Leprogrés.fr
A deux jours de cet ultimatum, une source au ministère français de la Défense a affirmé hier n'avoir « aucune preuve de vie » de l'otage.
Cet après-midi une source militaire mauritanienne a affirmé que « les opérations de traque et de ratissage se poursuivent contre les camps des terroristes d'Al-Qaida » dans plusieurs zones au Mali. Peu après, une source au ministère français de la Défense a ajouté que ce nouveau raid mauritanien, le deuxième en trois jours, avait pris fin, mais que l'armée française n'y avait pas participé. Vingt à trente militaires français étaient en revanche impliqués dans le premier raid de jeudi, selon cette source qui a précisé que son but était bien de libérer Michel Germaneau.
La fin annoncée de ces opérations militaires, qui ont fait sept morts parmi les membres d'Aqmi, selon un nouveau bilan donné de source militaire mauritanienne, renforce encore un peu plus l'inquiétude sur le sort de l'otage : des rumeurs faisant état de sa mort circulent déjà au Mali.
Aqmi, qui détient ce Français de 78 ans depuis le mois d'avril, a menacé de l'exécuter à compter de lundi si ses militants prisonniers dans la région n'étaient pas libérés.
Source: Leprogrés.fr