
Les centrales syndicales représentant les divers corps de la santé ont violemment dénoncé les agissements de la direction générale de l'Hôpital national, interpellant les autorités sur l'urgence d'une intervention rapide pour désamorcer la crise qui couve derrière la désastreuse situation du personnel médical.
La Commission des urgences mise sur pied par les trois syndicats de travail du secteur condamnent le comportement à leur égard du directeur général, mettant en exergue son refus à s'ouvrir à toute concertation et dialogue, précisant que suite à leur demande de le rencontrer, le directeur aurait refusé de les recevoir en groupe, mais individuellement.
Les délégués parlent de situation explosive au sein de l'hôpital national du fait du refus catégorique de la direction à répondre favorablement aux doléances les plus élémentaires des syndicats. Ces derniers soulignent la mauvaise situation des employeurs, les arriérés de droits, le piétinement des valeurs médicales et l'esprit rétrograde des responsables qui continent à agir comme dans le passé, provoquant l'ire de tout le personnel soignant.
Les syndicats ont surtout dénoncé la médiocrité des services rendus au sein de l'hôpital du fait de la négligence et de la panne technique qui affecte la majeure partie du matériel médical, mais aussi de l'incapacité de l'institution à fournir les examens les plus primaires à ces malades, au moment où un tel service se trouve en abondance dans d'autres hôpitaux qui lui sont semblables ainsi que dans les cliniques privées.
Les syndicalistes ont indiqué que ces jours qui précèdent l'Aïd El Adha risquent d'être les plus difficiles, si rien n'est fait pour régler le problème des travailleurs, si les droits dus ne sont pas payés, et si les sages voix qui appellent au désamorcement de la crise ne sont pas écoutées.
Il faut souligner que la crise actuelle au sein de l'hôpital national a commencé par un mécontentement dans les rangs des employés du Centre de transfusion sanguine, mécontentement qui s'était traduit par une grève de quelques heures en guise de protestation des employés qui réclamaient le paiement de quelques droits et primes.
Source: L'authentique
La Commission des urgences mise sur pied par les trois syndicats de travail du secteur condamnent le comportement à leur égard du directeur général, mettant en exergue son refus à s'ouvrir à toute concertation et dialogue, précisant que suite à leur demande de le rencontrer, le directeur aurait refusé de les recevoir en groupe, mais individuellement.
Les délégués parlent de situation explosive au sein de l'hôpital national du fait du refus catégorique de la direction à répondre favorablement aux doléances les plus élémentaires des syndicats. Ces derniers soulignent la mauvaise situation des employeurs, les arriérés de droits, le piétinement des valeurs médicales et l'esprit rétrograde des responsables qui continent à agir comme dans le passé, provoquant l'ire de tout le personnel soignant.
Les syndicats ont surtout dénoncé la médiocrité des services rendus au sein de l'hôpital du fait de la négligence et de la panne technique qui affecte la majeure partie du matériel médical, mais aussi de l'incapacité de l'institution à fournir les examens les plus primaires à ces malades, au moment où un tel service se trouve en abondance dans d'autres hôpitaux qui lui sont semblables ainsi que dans les cliniques privées.
Les syndicalistes ont indiqué que ces jours qui précèdent l'Aïd El Adha risquent d'être les plus difficiles, si rien n'est fait pour régler le problème des travailleurs, si les droits dus ne sont pas payés, et si les sages voix qui appellent au désamorcement de la crise ne sont pas écoutées.
Il faut souligner que la crise actuelle au sein de l'hôpital national a commencé par un mécontentement dans les rangs des employés du Centre de transfusion sanguine, mécontentement qui s'était traduit par une grève de quelques heures en guise de protestation des employés qui réclamaient le paiement de quelques droits et primes.
Source: L'authentique