Droit de réponse à Brahim Ramdane, Président de la Fondation Sahe



J’ai lu les commentaires d’ un article paru sur Cridem à propos d’une réunion qui m’a regroupé avec le département d’État américain (TIP) et le parti travailliste

J’ai remarqué que certains politiciens semblent confondre entre les vaches. Ce qui suscite de ma part les clarifications suivantes :

– Je ne suis membre d’aucun parti politique et n’appartient à aucune tendance et je ne reçois, ni ne donne de leçons à qui que ce soit ,en dehors de la fondation Sahel.

Dire que je suis envoyé par le régime ou que je travaille avec lui, ce sont de vieilles accusations sans la moindre preuve et je n’arrive pas à comprendre pourquoi certaines personnes utilisent une torche en plein jour.

– Je suis venu ici , assister à ma manière, en tant qu’organisation de défense des droits de l’homme représentant un projet communautaire , à la recherche de relations, de soutiens et de relations .

– Le titre choisi pour l’article publié sur Cridem n’était pas innocent. nous n’avons pas déployé d’efforts et nous ne sommes ni représentants du régime ni de l’opposition,

Il n’est pas de notre ressort ni compétences de lever les sanctions contre l’État, mais nous avons fourni un avis duquel nous sommes convaincus : Que les sanctions à caractère économique, ne nuisent qu’à la population , aux bienfaiteurs et donateurs et ceux-ci constituent le meilleur soutien – ou du moins le voudrions-nous – de la Fondation Sahel …

– Nous n’avons coordonné cette position avec aucune partie en dehors du contour Sahel (ici) et nous n’en demandons contre cela ni remerciements ni gratifications.

Mais cela s’inscrit dans le cadre de notre amour pour la patrie et de notre volonté de profiter de toutes les chances qui s’offrent à notre développement.

– Si une quelconque partie veut sanctionner les personnes impliquées dans la corruption et le vol de l’argent des citoyens, nous la saluons et lui tendons la main de la collaboration-

Cela nous l’avons exprimé à deux reprises – à condition que les sanctions visent les intérêts particuliers de ces personnes impliquées , tels que leurs virements bancaires, les visas pour leurs voyages, etc.

Quant au peuple mauritanien, nous sommes ici pour le défendre avec foi et impartialité.

Nous avons dit sur toutes les plateformes, ici et là, et nous continuerons à dire, à moins que quelque chose ne change vraiment, que la situation des droits de l’homme en Mauritanie n’est pas bonne, que les lois et accords ne s’appliquent pas et qu’il n’y a pas de volonté politique de résoudre les problèmes du passif humanitaire et de l’esclavage. L’injustice fondée sur la couleur ou la race est évidente encore et il n’ya meilleure preuve à cela, que les récentes nominations du jeudi noir.

Brahim Bilal Ramdane Président de la fondation SAHEL

Lundi 7 Octobre 2019
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