L’ethnofasciste ministre de l’intérieur vient de délivrer des récépissés de reconnaissance à quelques nouveaux partis politiques, tous dirigés par une élite issue d’une seule communauté racio-culturelle du pays. Ils évoquent la nouvelle loi sur des partis mais nous savons tous aussi que certains partis ont été créées sous l’impulsion du chauvin ministre chargé de l’administration territoriale. Nous savons aussi qu’un cadre politique négro-mauritanien a été approché par les autorités du MINT pour lui faciliter la reconnaissance et éviter des critiques de discrimination.
Pour rappel pour le moment sur toute l’étendue du territoire du Petit pays de Ghazou il n’y a que deux partis politiques officiels qui sont dirigés par des leaders d’origine négro-africaine. Ils refusent toujours de RECONNAÎTRE officiellement notre parti les FPC et le RAG du président Biram Dah Abeid, qui ont pourtant rempli toutes les exigences de la loi sur les partis depuis bientôt plus de 10 ans. Notre dossier de recours traîne depuis plus de 8 ans dans le bureau de la Cour suprême, sans réponse et encore moins de suite ! Apparemment ils ne veulent pas des partis qui touchent sans langue de bois des questions fâcheuses à savoir le racisme d’État et l’esclavage en Mauritanie. Ils veulent des partis à la solde du système et qui caressent le régime dans le sens du poil.
Ils ont bien compris que nous les avons bien compris.
La reconnaissance nationale du peuple et la reconnaissance internationale nous suffisent largement car elles sont plus importantes à nos yeux qu’à la petite signature des militaires putschistes et leurs petits affidés de ministres.
Nous n’avons pas attendu le multipartisme ou que la parole soit libérée pour proposer notre projet de société pour la Mauritanie et livrer notre part de vérité.
Une chose est sûre et certaine: ce que les régimes militaires féroces et sanguinaires ne sont pas arrivés par la répression, la délation, des offres mirobolantes et des tentatives de corruption ce n´est pas par la diabolisation, le terrorisme et l´imposture intellectuelle que certains y arriveront.
Nous sommes plus que jamais engagés et déterminés pour REFONDER ce pays et construire une autre Mauritanie, une Mauritanie juste, libre et réconciliée où le fait d´être arabe, noir, haratine ou znéga ne serait ipso-facto une condition rédhibitoire.
C´est le paradigme que nous avons rappelé et voulu concrétiser en Mauritanie qui nous a valu la dénonciation, la répression, la prison, l’exil forcé et jusqu´à l´élimination physique de ceux que nous comptions de plus chers dans notre mouvement. Mais nous ne devons jamais faiblir, il est des instants qui font l’histoire. Et nos camarades tombés ont fait à jamais l’histoire de la Mauritanie. Une autre Mauritanie est incontournable, il est un honneur d’être dans le même camp qu’eux, le reste n’est que médocrité.
Nous ne dirons jamais assez que le régime actuel de Ghazouani doit se ressaisir et se surpasser pour outrepasser l’impasse politique du pays.
Demain il fera jour et la lutte continue!
Kaaw Touré.
Pour rappel pour le moment sur toute l’étendue du territoire du Petit pays de Ghazou il n’y a que deux partis politiques officiels qui sont dirigés par des leaders d’origine négro-africaine. Ils refusent toujours de RECONNAÎTRE officiellement notre parti les FPC et le RAG du président Biram Dah Abeid, qui ont pourtant rempli toutes les exigences de la loi sur les partis depuis bientôt plus de 10 ans. Notre dossier de recours traîne depuis plus de 8 ans dans le bureau de la Cour suprême, sans réponse et encore moins de suite ! Apparemment ils ne veulent pas des partis qui touchent sans langue de bois des questions fâcheuses à savoir le racisme d’État et l’esclavage en Mauritanie. Ils veulent des partis à la solde du système et qui caressent le régime dans le sens du poil.
Ils ont bien compris que nous les avons bien compris.
La reconnaissance nationale du peuple et la reconnaissance internationale nous suffisent largement car elles sont plus importantes à nos yeux qu’à la petite signature des militaires putschistes et leurs petits affidés de ministres.
Nous n’avons pas attendu le multipartisme ou que la parole soit libérée pour proposer notre projet de société pour la Mauritanie et livrer notre part de vérité.
Une chose est sûre et certaine: ce que les régimes militaires féroces et sanguinaires ne sont pas arrivés par la répression, la délation, des offres mirobolantes et des tentatives de corruption ce n´est pas par la diabolisation, le terrorisme et l´imposture intellectuelle que certains y arriveront.
Nous sommes plus que jamais engagés et déterminés pour REFONDER ce pays et construire une autre Mauritanie, une Mauritanie juste, libre et réconciliée où le fait d´être arabe, noir, haratine ou znéga ne serait ipso-facto une condition rédhibitoire.
C´est le paradigme que nous avons rappelé et voulu concrétiser en Mauritanie qui nous a valu la dénonciation, la répression, la prison, l’exil forcé et jusqu´à l´élimination physique de ceux que nous comptions de plus chers dans notre mouvement. Mais nous ne devons jamais faiblir, il est des instants qui font l’histoire. Et nos camarades tombés ont fait à jamais l’histoire de la Mauritanie. Une autre Mauritanie est incontournable, il est un honneur d’être dans le même camp qu’eux, le reste n’est que médocrité.
Nous ne dirons jamais assez que le régime actuel de Ghazouani doit se ressaisir et se surpasser pour outrepasser l’impasse politique du pays.
Demain il fera jour et la lutte continue!
Kaaw Touré.