On ne cessera jamais de le dire : l’opinion nationale attend impatiemment que le président de la République se débarrasse de l’actuel Premier ministre monsieur Moulaye Ould Mohamed Laghdaf dont le moins qu’on puisse dire est qu’il s’est retrouvé, (par quel concours de circonstances ?), à un poste de responsabilité qui visiblement le dépasse et de loin ! Plusieurs membres de son équipe sont aussi à la traîne au grand dam des populations qui aspirent au changement constructif.
De l’avis de plusieurs observateurs, il existe aujourd’hui deux Mauritanie celle que veut construire le président de la République et celle que l’actuel gouvernement est entrain de mettre en place.
La Mauritanie nouvelle de Mohamed Ould Abdel Aziz est celle qui engage les ministres à mettre en place une administration de développement, proche des usagers et en particulier des personnes démunies. Une administration qui offre des services aux populations.
Chaque jour, le président de la République retrousse les manches et descend sur le terrain pour donner l’exemple de cette administration de proximité, à l’écoute des doléances des populations et à leur service pour satisfaire leurs attentes.
C’est dans ce cadre que s’inscrivent les visites inopinées qu’il entreprend dans certaines moughataa et dans certaines structures publiques ainsi que les randonnées nocturnes pour s’enquérir de visu de la situation des populations, que lui prêtent l’opinion nationale
L’autre Mauritanie, celle incarnée par l’actuel Premier ministre et certains membres du gouvernement est celle de l’attentisme, du manque d’initiative et d’imagination, de la gestion au quotidien, sans vision qui dépasse l’orteil, en attendant le pourrissement.
A quoi assiste-t-on aujourd’hui ? A un président qui joue le rôle de son Premier ministre parce que ce dernier est tout simplement incapable de remplir sa mission. Aucun des grands chantiers mis en œuvre n’est piloté par le Premier ministre car l’homme attend toujours des instructions venant de haut lieu au lieu de faire preuve d’innovation.
La dernière initiative en faveur des populations est le déménagement de certaines familles du sinistre site de Legreygua et leur recasement dans un autre quartier plus approprié pour l’habitation. Cela s’est fait sur instruction expresse du président de la République qui s’est rendu personnellement à cet endroit pour s’enquérir de la situation de ses compatriotes au moment où le Premier ministre et sans doute certains membres de son équipe ronflaient tout bonnement dans leur luxueuse villa sans doute acquise grâce à des biens mal acquis.
La grande bataille que livre aujourd’hui le président de la République contre les prévaricateurs est l’une de ses promesses électorales phares. Elle fera gagner au Trésor public de faramineuses sommes d’argent mais le plus important, c’est qu’elle permettra de faire tomber les masques des auteurs de détournements de l’argent public et des adeptes de l’argent sale. Les membres de cette clique ne seront plus considérés comme des héros et adulés par le peuple mais comme de vulgaires chenapans honnis par les populations. Ainsi l’échelle des valeurs morales longtemps renversée, pourrait reprendre sa norme.
Les évictions fracassantes de certains responsables au cours des sessions hebdomadaires du Conseil des ministres est un bel exemple de cette volonté présidentielle d’aller jusqu’au bout dans cette bataille sans merci contre la gabegie.
La Mauritanie nouvelle est celle faite d’équité et de justice, celle où personne ne peut plus se targuer d’être intouchable ou au-dessus de la loi. Chacun d’entre nous a des comptes à rendre sur ces faits et gestes.
Malheureusement, seul Ould Abdel Aziz est sur tous les fronts pour mener ces grands chantiers. Pourra-t-il continuer à le faire tout seul en accordant une grâce au Premier ministre et à son gouvernement dépassé ?
Rien n’est moins sûr. Autant dire qu’un changement de gouvernement est dans l’air. Certaines indiscrétions croient savoir qu’il pourrait intervenir au mois de janvier prochain. Se serait sans doute le meilleur cadeau de nouvel an que Ould Abdel Aziz pourrait faire aux Mauritaniens
Source: Le veridique
De l’avis de plusieurs observateurs, il existe aujourd’hui deux Mauritanie celle que veut construire le président de la République et celle que l’actuel gouvernement est entrain de mettre en place.
La Mauritanie nouvelle de Mohamed Ould Abdel Aziz est celle qui engage les ministres à mettre en place une administration de développement, proche des usagers et en particulier des personnes démunies. Une administration qui offre des services aux populations.
Chaque jour, le président de la République retrousse les manches et descend sur le terrain pour donner l’exemple de cette administration de proximité, à l’écoute des doléances des populations et à leur service pour satisfaire leurs attentes.
C’est dans ce cadre que s’inscrivent les visites inopinées qu’il entreprend dans certaines moughataa et dans certaines structures publiques ainsi que les randonnées nocturnes pour s’enquérir de visu de la situation des populations, que lui prêtent l’opinion nationale
L’autre Mauritanie, celle incarnée par l’actuel Premier ministre et certains membres du gouvernement est celle de l’attentisme, du manque d’initiative et d’imagination, de la gestion au quotidien, sans vision qui dépasse l’orteil, en attendant le pourrissement.
A quoi assiste-t-on aujourd’hui ? A un président qui joue le rôle de son Premier ministre parce que ce dernier est tout simplement incapable de remplir sa mission. Aucun des grands chantiers mis en œuvre n’est piloté par le Premier ministre car l’homme attend toujours des instructions venant de haut lieu au lieu de faire preuve d’innovation.
La dernière initiative en faveur des populations est le déménagement de certaines familles du sinistre site de Legreygua et leur recasement dans un autre quartier plus approprié pour l’habitation. Cela s’est fait sur instruction expresse du président de la République qui s’est rendu personnellement à cet endroit pour s’enquérir de la situation de ses compatriotes au moment où le Premier ministre et sans doute certains membres de son équipe ronflaient tout bonnement dans leur luxueuse villa sans doute acquise grâce à des biens mal acquis.
La grande bataille que livre aujourd’hui le président de la République contre les prévaricateurs est l’une de ses promesses électorales phares. Elle fera gagner au Trésor public de faramineuses sommes d’argent mais le plus important, c’est qu’elle permettra de faire tomber les masques des auteurs de détournements de l’argent public et des adeptes de l’argent sale. Les membres de cette clique ne seront plus considérés comme des héros et adulés par le peuple mais comme de vulgaires chenapans honnis par les populations. Ainsi l’échelle des valeurs morales longtemps renversée, pourrait reprendre sa norme.
Les évictions fracassantes de certains responsables au cours des sessions hebdomadaires du Conseil des ministres est un bel exemple de cette volonté présidentielle d’aller jusqu’au bout dans cette bataille sans merci contre la gabegie.
La Mauritanie nouvelle est celle faite d’équité et de justice, celle où personne ne peut plus se targuer d’être intouchable ou au-dessus de la loi. Chacun d’entre nous a des comptes à rendre sur ces faits et gestes.
Malheureusement, seul Ould Abdel Aziz est sur tous les fronts pour mener ces grands chantiers. Pourra-t-il continuer à le faire tout seul en accordant une grâce au Premier ministre et à son gouvernement dépassé ?
Rien n’est moins sûr. Autant dire qu’un changement de gouvernement est dans l’air. Certaines indiscrétions croient savoir qu’il pourrait intervenir au mois de janvier prochain. Se serait sans doute le meilleur cadeau de nouvel an que Ould Abdel Aziz pourrait faire aux Mauritaniens
Source: Le veridique
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