Dans un communiqué rendu public ce mercredi à Nouakchott, le Bureau Exécutif du Syndicat Indépendant des Professeurs de l’Enseignement Secondaire (SIPES) a demandé la poursuite de l’enquête policière destinée à faire la lumière sur la ténébreuse affaire des notes de service falsifiées qui secoue les deux ministères chargés de l’enseignement depuis quelques jours.
Pour le SIPES, la transparence doit prévaloir et les « criminels » doivent être arrêtés.
Dans le communiqué, le SIPES se fondant sur des informations révélées par la presse locale affirme que 113 notes de service portant un numéro double ont été detectées.60 parmi ces notes de services censées être signées par le SG comportent une anomalie flagrante sur la dénomination de ce responsable.
Dans son communiqué, le SIPES a parlé « d’erreurs flagrantes et de fraude à grande échelle ».De ce fait, elle demande la poursuite de l’enquête pour démasquer les auteurs et le rejet de toute note de service douteuse avec « la sanction du responsable quel que soit son rang. »
Apparemment, le SIPES craint le classement de cette affaire. En effet, selon des sources dignes de foi, cette histoire a été présentée comme une guerre des lobbies au sein du département de l’éducation. La poursuite de l’enquête allait impliquer beaucoup de monde, y compris de gros poissons. Il semble donc qu’on se dirige lentement mais sûrement vers le classement sans suite de l’affaire. Les dinosaures indéboulonnables du département de l’éducation pourront donc continuer à sévir dans l’impunité.
Source: Le divan
Pour le SIPES, la transparence doit prévaloir et les « criminels » doivent être arrêtés.
Dans le communiqué, le SIPES se fondant sur des informations révélées par la presse locale affirme que 113 notes de service portant un numéro double ont été detectées.60 parmi ces notes de services censées être signées par le SG comportent une anomalie flagrante sur la dénomination de ce responsable.
Dans son communiqué, le SIPES a parlé « d’erreurs flagrantes et de fraude à grande échelle ».De ce fait, elle demande la poursuite de l’enquête pour démasquer les auteurs et le rejet de toute note de service douteuse avec « la sanction du responsable quel que soit son rang. »
Apparemment, le SIPES craint le classement de cette affaire. En effet, selon des sources dignes de foi, cette histoire a été présentée comme une guerre des lobbies au sein du département de l’éducation. La poursuite de l’enquête allait impliquer beaucoup de monde, y compris de gros poissons. Il semble donc qu’on se dirige lentement mais sûrement vers le classement sans suite de l’affaire. Les dinosaures indéboulonnables du département de l’éducation pourront donc continuer à sévir dans l’impunité.
Source: Le divan
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