
es renseignements des Occidentaux et des Organisations nationales et internationales sont plus crédibles dans leur vision des faits que les médias. Une vérité incontestable dés lors où la force des Etats réside en premier de la performance de leurs services de renseignements.
L’Afrique confrontée depuis ces dernières au terrorisme transfrontalier et destructeur, est restée spectatrice d’un phénomène qui a continué à s’étendre à tous les pays africains dont la Mauritanie, qui a fait l’objet d’attaques avortées à la voiture piégées en 2011, donc très récemment pour ce qui s’évertuent à défendre la bourde du pacte de la Mauritanie avec le diable (AQMI ou Al-Qaeda).
Parmi les dirigeants africains, aucun ne s’est réellement investi dans la lutte contre le terrorisme, ni sur plan national, régional ou international. C’est l’arrivée au pouvoir de l’actuel Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz qui avait interverti la tendance et favoriser l’émergence d’un pôle antiterroriste local et offensif.
Une politique couronnée de succès qui a permis à la Mauritanie de traquer Aqmi dans ses arrières bases au Mali, notamment dans la forêt de Wagadou.
L’Occident prend très vite note de cette volonté de fer de Mohamed Ould Abdel Aziz de moderniser son armée et de vaincre le terrorisme, s’empressant à le désigner sur les tribunes des Nations Unies, l’Union Africaine, l’Union Européenne, le Sahel, la ligue arabe et les pays du Golfe de l’homme téméraire, courageux à déterminer à tout prix, à braver les terroristes et leur armement modernisé et destructeur.
Le Golfe suivra ainsi que les Etats du Sahel et de l’Afrique, qui sollicitèrent Mohamed Ould Abdel Aziz pour créer des forces militaires sous-régionales (G5) ou intercontinentales (dialogue 5 + 5) dédiées à lutter contre le terrorisme dans toutes ses manifestations depuis Aqmi jusqu’au Boko Haram.
Depuis, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui créé des envieux partout, sollicités par ailleurs par ses ennemis au pays et à l’extérieur, pour écorner son image de Président ayant relever le défi de la lutte antiterroriste en Afrique, n’a cessé de recevoir les félicitations et les compliments de dirigeants du monde pour cet acquis énorme, condition sine qua none de tout développement, impossible sans stabilité, sécurité, défense et paix.
En effet, sa stratégie transversale fructueuse a permis à la Mauritanie de rester à l’abri de tout acte terroriste depuis 2011 jusqu’à ce jour, au moment où le printemps arabe, Daech , Aqmi, Boko Haram, les réseaux de drogue et de blanchiment ravagent les Etats aussi voisins que lointains ou menacent de frapper comme cela s’est produit dernièrement en Cote d’Ivoire.
Ce n’est pas la Mauritanie ou le Président mauritanien qui se sont donnés l’appellation de pionniers africains dans la lutte antiterroriste actuelle, mais l’Occident et les autres pays comme en témoignent les hommages faits régulièrement par les dirigeants du monde entier, unanimes sur le rôle de premier acteur de lutte contre le terrorisme de Ould Abdel Aziz.
De langue crédible et non complaisance, la communauté internationale doit être entendue et tout ce qui contredit ses constats et nul et non avenue.
Cette communauté qui a exprimé sa reconnaissance et rendu ses hommages sincères et chaleureux au Président, au gouvernement et au peuple mauritanien, à travers le Président du parti de l’Union Pour la République Me Sidi Mohamed Ould Maham à l’occasion de sa tournée en France (sénat), aux Etats-Unis (Congress) et en Chine, promettant d’apporter tout l’appui nécessaire à cette lutte de titan, bien gagnée par Nouakchott pour mériter le soutien international, afin de prémunir l’humanité toute entière contre le terrorisme.
Les chiens aboient, la caravane ne peut que passer.
Ahmed Ould Bettar
Source: http://rapideinfo.net
L’Afrique confrontée depuis ces dernières au terrorisme transfrontalier et destructeur, est restée spectatrice d’un phénomène qui a continué à s’étendre à tous les pays africains dont la Mauritanie, qui a fait l’objet d’attaques avortées à la voiture piégées en 2011, donc très récemment pour ce qui s’évertuent à défendre la bourde du pacte de la Mauritanie avec le diable (AQMI ou Al-Qaeda).
Parmi les dirigeants africains, aucun ne s’est réellement investi dans la lutte contre le terrorisme, ni sur plan national, régional ou international. C’est l’arrivée au pouvoir de l’actuel Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz qui avait interverti la tendance et favoriser l’émergence d’un pôle antiterroriste local et offensif.
Une politique couronnée de succès qui a permis à la Mauritanie de traquer Aqmi dans ses arrières bases au Mali, notamment dans la forêt de Wagadou.
L’Occident prend très vite note de cette volonté de fer de Mohamed Ould Abdel Aziz de moderniser son armée et de vaincre le terrorisme, s’empressant à le désigner sur les tribunes des Nations Unies, l’Union Africaine, l’Union Européenne, le Sahel, la ligue arabe et les pays du Golfe de l’homme téméraire, courageux à déterminer à tout prix, à braver les terroristes et leur armement modernisé et destructeur.
Le Golfe suivra ainsi que les Etats du Sahel et de l’Afrique, qui sollicitèrent Mohamed Ould Abdel Aziz pour créer des forces militaires sous-régionales (G5) ou intercontinentales (dialogue 5 + 5) dédiées à lutter contre le terrorisme dans toutes ses manifestations depuis Aqmi jusqu’au Boko Haram.
Depuis, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui créé des envieux partout, sollicités par ailleurs par ses ennemis au pays et à l’extérieur, pour écorner son image de Président ayant relever le défi de la lutte antiterroriste en Afrique, n’a cessé de recevoir les félicitations et les compliments de dirigeants du monde pour cet acquis énorme, condition sine qua none de tout développement, impossible sans stabilité, sécurité, défense et paix.
En effet, sa stratégie transversale fructueuse a permis à la Mauritanie de rester à l’abri de tout acte terroriste depuis 2011 jusqu’à ce jour, au moment où le printemps arabe, Daech , Aqmi, Boko Haram, les réseaux de drogue et de blanchiment ravagent les Etats aussi voisins que lointains ou menacent de frapper comme cela s’est produit dernièrement en Cote d’Ivoire.
Ce n’est pas la Mauritanie ou le Président mauritanien qui se sont donnés l’appellation de pionniers africains dans la lutte antiterroriste actuelle, mais l’Occident et les autres pays comme en témoignent les hommages faits régulièrement par les dirigeants du monde entier, unanimes sur le rôle de premier acteur de lutte contre le terrorisme de Ould Abdel Aziz.
De langue crédible et non complaisance, la communauté internationale doit être entendue et tout ce qui contredit ses constats et nul et non avenue.
Cette communauté qui a exprimé sa reconnaissance et rendu ses hommages sincères et chaleureux au Président, au gouvernement et au peuple mauritanien, à travers le Président du parti de l’Union Pour la République Me Sidi Mohamed Ould Maham à l’occasion de sa tournée en France (sénat), aux Etats-Unis (Congress) et en Chine, promettant d’apporter tout l’appui nécessaire à cette lutte de titan, bien gagnée par Nouakchott pour mériter le soutien international, afin de prémunir l’humanité toute entière contre le terrorisme.
Les chiens aboient, la caravane ne peut que passer.
Ahmed Ould Bettar
Source: http://rapideinfo.net