
Le Groupe des Initiatives de plaidoyer pour la femme (GI3PF) vient de lancer une pétition pour une grande participation du genre aux prochaines élections au moment où la crise se corse encore entre la Majorité présidentielle et la Coordination de l’Opposition Démocratique et des élections improbables.
Décidément le combat pour un leadership féminin est sans répit pour le Groupe des Initiatives de Plaidoyer pour la Femme (GI3PF) qui vient de lancer une pétition pour la participation de la gent féminine aux " futures " élections.
Invitant les partis, les élus entre autres à adhérer à leurs revendications. Le groupe souhaite que cette pétition débouche sur des directives tangibles du gouvernement et de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) afin que leur revendications énumérées dans la pétition soient adoptées aux prochains échéances électorales.
S’agissant l’élection à la députation, les femmes réclament en plus du respect de la liste nationale, demandent aux partis de présenter une femme en tête de liste dans au moins l’une de ces deux listes à savoir la liste nationale mixte ou la liste de Nouakchott.
Elles ont sollicité aussi le respecter de l’alternance une femme un homme ou un homme une femme dans la composition de la liste nationale mixte, de Nouakchott ainsi que de toutes listes proportionnelles pour les circonscriptions à 3 ou 4 sièges.
" Rétablir la présence d’une femme candidate titulaire dans les capitales régionales à deux sièges ou présenter une femme tête de liste dans les capitales régionales à scrutin proportionnel " revendique la gent féminine selon la pétition.
Sur la question de l’élection des sénateurs, le (GI3PF) pétitionne en substance de rétablir l’exigence du placement d’une femme tête de liste dans les trois circonscriptions sénatoriales de Nouakchott, la présentation de deux candidates lorsqu’un parti se présente dans quatre circonscriptions à l’intérieur et enfin une candidature féminine pour les sénateurs représentants les Mauritaniens de l’étranger.
La bataille risque d’être longue dors et déjà avec l’imbroglio dans la quelle la politique mauritanienne patauge. Pour les improbables élections, les Amazones décident de ne pas se laisser se faire. En plus de la guéguerre entre COD et Majorité Présidentielle, la Mauritanie connait sa énième crise avec la guerre des genres.
En rappel le GI3PF est un groupe non-partisan, composé de femmes leaders provenant de différents partis politiques (majorité et opposition), d’organisations de la société civile, de journalistes, d’élues. Ce groupe a vu le jour en 2006 et s’est élargi en faire le plaidoyer en vue de rehausser le niveau d’accès des Mauritaniennes aux sphères de décision, dans les mandats, fonctions.
Cheikh Oumar NDiaye.
Décidément le combat pour un leadership féminin est sans répit pour le Groupe des Initiatives de Plaidoyer pour la Femme (GI3PF) qui vient de lancer une pétition pour la participation de la gent féminine aux " futures " élections.
Invitant les partis, les élus entre autres à adhérer à leurs revendications. Le groupe souhaite que cette pétition débouche sur des directives tangibles du gouvernement et de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) afin que leur revendications énumérées dans la pétition soient adoptées aux prochains échéances électorales.
S’agissant l’élection à la députation, les femmes réclament en plus du respect de la liste nationale, demandent aux partis de présenter une femme en tête de liste dans au moins l’une de ces deux listes à savoir la liste nationale mixte ou la liste de Nouakchott.
Elles ont sollicité aussi le respecter de l’alternance une femme un homme ou un homme une femme dans la composition de la liste nationale mixte, de Nouakchott ainsi que de toutes listes proportionnelles pour les circonscriptions à 3 ou 4 sièges.
" Rétablir la présence d’une femme candidate titulaire dans les capitales régionales à deux sièges ou présenter une femme tête de liste dans les capitales régionales à scrutin proportionnel " revendique la gent féminine selon la pétition.
Sur la question de l’élection des sénateurs, le (GI3PF) pétitionne en substance de rétablir l’exigence du placement d’une femme tête de liste dans les trois circonscriptions sénatoriales de Nouakchott, la présentation de deux candidates lorsqu’un parti se présente dans quatre circonscriptions à l’intérieur et enfin une candidature féminine pour les sénateurs représentants les Mauritaniens de l’étranger.
La bataille risque d’être longue dors et déjà avec l’imbroglio dans la quelle la politique mauritanienne patauge. Pour les improbables élections, les Amazones décident de ne pas se laisser se faire. En plus de la guéguerre entre COD et Majorité Présidentielle, la Mauritanie connait sa énième crise avec la guerre des genres.
En rappel le GI3PF est un groupe non-partisan, composé de femmes leaders provenant de différents partis politiques (majorité et opposition), d’organisations de la société civile, de journalistes, d’élues. Ce groupe a vu le jour en 2006 et s’est élargi en faire le plaidoyer en vue de rehausser le niveau d’accès des Mauritaniennes aux sphères de décision, dans les mandats, fonctions.
Cheikh Oumar NDiaye.