Le président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz s’est rendu, ce matin, à la base militaire de Jreida, à quelques kilomètres au nord-ouest de Nouakchott.
Ould Abdel Aziz était accompagné par Hamady Ould Hamady, le chef d’Etat major national, le général de brigade Mohamed Ould Ghazouani et le commandant Mohamed Mahmoud Ould Wena, commandant du bataillon.
Au cours de ce déplacement, le chef de l’Etat a visité des unités de combat aéroportées relevant du bataillon avant de se rendre dans les bureaux et les résidences des soldats. Il s’est aussi informé, durant toutes les étapes de la visite, sur la nature des services et des équipements et le type du matériel utilisé ainsi que sur la nature du combat de ce bataillon d’élite.
Ancien fort colonial, tristement célèbre pour ses geôles qui avaient servi, dans les années 80, à « loger », dans des conditions inhumaines, l’ancien chef de l’Etat, Moustapha Ould Mohamed Saleck et l’ancien Premier ministre, Sid’Ahmed Ould Bneijara. C’est là qu’ont été jugés et exécutés, par un tribunal militaire, les auteurs de la tentative échouée du coup du 16 mars 1981, les officiers (Kader, Ahmed Salem Ould Sidi, Niang Salla et Daouda Seck). Quelques années plus tard, c’est le même sort que connaitra un groupe d’officiers, essentiellement des Halpularen, Amadou Sarr et Saïdou Sy et Seydi Bâ. La même juridiction militaire d’exception jugera également les baathistes, sans toutefois, prononcer de peine capitale.
A la fin des années 90, la base de Jreida accueillera les Fumar (unités spéciales de fusiliers marins), unités d’élite. Mais, après la tentative du coup d’Etat du 8 juin 2003, un changement de dispositif lui rattache le deuxième bataillon des commandos parachutistes (2° BCP), auparavant installé à Bababé.
Source: canalrim.info
Ould Abdel Aziz était accompagné par Hamady Ould Hamady, le chef d’Etat major national, le général de brigade Mohamed Ould Ghazouani et le commandant Mohamed Mahmoud Ould Wena, commandant du bataillon.
Au cours de ce déplacement, le chef de l’Etat a visité des unités de combat aéroportées relevant du bataillon avant de se rendre dans les bureaux et les résidences des soldats. Il s’est aussi informé, durant toutes les étapes de la visite, sur la nature des services et des équipements et le type du matériel utilisé ainsi que sur la nature du combat de ce bataillon d’élite.
Ancien fort colonial, tristement célèbre pour ses geôles qui avaient servi, dans les années 80, à « loger », dans des conditions inhumaines, l’ancien chef de l’Etat, Moustapha Ould Mohamed Saleck et l’ancien Premier ministre, Sid’Ahmed Ould Bneijara. C’est là qu’ont été jugés et exécutés, par un tribunal militaire, les auteurs de la tentative échouée du coup du 16 mars 1981, les officiers (Kader, Ahmed Salem Ould Sidi, Niang Salla et Daouda Seck). Quelques années plus tard, c’est le même sort que connaitra un groupe d’officiers, essentiellement des Halpularen, Amadou Sarr et Saïdou Sy et Seydi Bâ. La même juridiction militaire d’exception jugera également les baathistes, sans toutefois, prononcer de peine capitale.
A la fin des années 90, la base de Jreida accueillera les Fumar (unités spéciales de fusiliers marins), unités d’élite. Mais, après la tentative du coup d’Etat du 8 juin 2003, un changement de dispositif lui rattache le deuxième bataillon des commandos parachutistes (2° BCP), auparavant installé à Bababé.
Source: canalrim.info
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