Le président de la République s’est envolé aujourd’hui, en direction de la France, où il prendra part à Nice, le 31 mai et 1er juin aux travaux du sommet France-Afrique, aux côtés de 39 autres de ses homologues africains.
Cette fois, Ould Abdel Aziz s’en va serein et confiant, après avoir réussi à charmer les autorités françaises, venues devant ses portes, lui témoigner leur reconnaissance pour l’excellent procès réservé aux présumés tueurs de leurs ressortissants touristes, mais également lui assurer leur total soutien pour le développement économique du pays.
Le sommet France-Afrique est aussi une autre grande occasion pour le président de la République pour mieux édifier son homologue français Nicolas Sarkozy, sur ce qu’il attend réellement de cette puissance, autre que des paroles sans lendemain, pour l’ouverture des vannes financières de la communauté internationale.
Pressé par les négociations de Bruxelles qui devront avoir lieu en juin prochain, Ould Abdel Aziz obtiendra-t-il auprès des champs Elysées des soutiens utiles pour dissiper définitivement les malentendus encore persistants entre Nouakchott et les bailleurs de fonds, ou bien Paris, se préservera de toute précipitation dans son positionnement par rapport à une question dont l’examen ne dépendra pas uniquement de seules humeurs ?
Source: emjad.net
Cette fois, Ould Abdel Aziz s’en va serein et confiant, après avoir réussi à charmer les autorités françaises, venues devant ses portes, lui témoigner leur reconnaissance pour l’excellent procès réservé aux présumés tueurs de leurs ressortissants touristes, mais également lui assurer leur total soutien pour le développement économique du pays.
Le sommet France-Afrique est aussi une autre grande occasion pour le président de la République pour mieux édifier son homologue français Nicolas Sarkozy, sur ce qu’il attend réellement de cette puissance, autre que des paroles sans lendemain, pour l’ouverture des vannes financières de la communauté internationale.
Pressé par les négociations de Bruxelles qui devront avoir lieu en juin prochain, Ould Abdel Aziz obtiendra-t-il auprès des champs Elysées des soutiens utiles pour dissiper définitivement les malentendus encore persistants entre Nouakchott et les bailleurs de fonds, ou bien Paris, se préservera de toute précipitation dans son positionnement par rapport à une question dont l’examen ne dépendra pas uniquement de seules humeurs ?
Source: emjad.net
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