Au cours du meeting qu’ils ont organisé cet après-midi à la place de la mosquée Ibn Abass, sous le slogan: «Echecs et Duperies du Régime», les leaders de la COD (Coordination de l’Opposition Démocratique) ont sévèrement critiqué le pouvoir en place, le décrivant de «dictatorial» et l’accusant d’«incapacité de gérer le pays» en affirmant que le pays connaît «une crise à tous les niveaux».
«Mohamed Ould Abdel Aziz et son gouvernement n’ont pas de vision pour la Mauritanie, la preuve, ils veulent mettre en péril ce que nous avons de meilleur actuellement: l’unité nationale. De nos jours, il est inopportun de susciter un problème entre les différentes communautés du pays», dira Bâ Mamadou Alassane, président du PLEJ.
Prenant la parole à son tour, l’ancien ministre de la Justice, Mahfoudh Ould Bettah a décrit le pouvoir actuel comme étant «une dictature», affirmant qu’il «méprise aussi bien ses partisans que ses adversaires, et qu’il adopte des politiques fondées sur la démagogie et les règlements de comptes», ajoutant que la Mauritanie vit actuellement une menace sans précédent pour son unité et son intégrité».
«En Mauritanie, il n’y a pas de crise identitaire, mais plutôt une crise politique depuis le renversement du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. A un moment certain moment donné, Ould Abdel Aziz s'est fait appeler le ''président des pauvres, seulement, vous conviendrez avec moi que la situation des pauvres n’a guère amélioré. C’est parce que Mohamed Ould Abdel Aziz ne fait rien dans le sens de l’amélioration des conditions de nos populations les pus démunies. Il ne soucie même pas de leur vie, ni celle de leurs enfants. J’en veux pour preuve le déménagement des populations d’Arafat et Hay-Saken, en pleine année scolaire. N’est-ce pas une manière de troubler la scolarité de leurs enfants?» notera Mohamed Ould Maouloud, président de l’UFP.
Pour sa part, le président du parti Adil, Yahya Ould Ahmed Waghf a déclaré que la COD, par ce meeting, envoie au Pouvoir un avertissement pour amorcer le dialogue avec elle, tel que stipulé dans l’Accord de Dakar pour l’après élections présidentielles.
Intervenant, à son tour, le président du RFD Ahmed Ould Daddah dira: «La Mauritanie n’a besoin que du changement au niveau de l’exécutif et rien d’autre. Ce qui se passe actuellement au sein de l’université de Nouakchott n’est pas digne d’un gouvernement qui se préoccupe de la cohésion nationale entre les différentes composantes de sa populations».
Enfin, le président en exercice de la COD et président de l’APP, Messaoud Ould Boulkheir prendra la parole pour dire: « Si Ould Abdel Aziz était le ‘’président des pauvres’’ comme il aime se faire appeler, la situation des pauvres allait aujourd’hui trouver une solution. L’identité de notre peuple est islamique, arabe et africaine. Nous avons des Arabes, des Poulars, des Soninkés, des Wolofs et des Bambaras. C’est malheureux d’assister à ce qui se passe actuellement au sein de notre seule et unique université. Si Mohamed Ould Abdel Aziz est incapable de faire le bonheur des populations mauritaniennes qu’il s’en aille de la présidence de la république. Lui et son gouvernement ne cessent de montrer leurs incapacités de gouverner».
Source: ani
«Mohamed Ould Abdel Aziz et son gouvernement n’ont pas de vision pour la Mauritanie, la preuve, ils veulent mettre en péril ce que nous avons de meilleur actuellement: l’unité nationale. De nos jours, il est inopportun de susciter un problème entre les différentes communautés du pays», dira Bâ Mamadou Alassane, président du PLEJ.
Prenant la parole à son tour, l’ancien ministre de la Justice, Mahfoudh Ould Bettah a décrit le pouvoir actuel comme étant «une dictature», affirmant qu’il «méprise aussi bien ses partisans que ses adversaires, et qu’il adopte des politiques fondées sur la démagogie et les règlements de comptes», ajoutant que la Mauritanie vit actuellement une menace sans précédent pour son unité et son intégrité».
«En Mauritanie, il n’y a pas de crise identitaire, mais plutôt une crise politique depuis le renversement du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. A un moment certain moment donné, Ould Abdel Aziz s'est fait appeler le ''président des pauvres, seulement, vous conviendrez avec moi que la situation des pauvres n’a guère amélioré. C’est parce que Mohamed Ould Abdel Aziz ne fait rien dans le sens de l’amélioration des conditions de nos populations les pus démunies. Il ne soucie même pas de leur vie, ni celle de leurs enfants. J’en veux pour preuve le déménagement des populations d’Arafat et Hay-Saken, en pleine année scolaire. N’est-ce pas une manière de troubler la scolarité de leurs enfants?» notera Mohamed Ould Maouloud, président de l’UFP.
Pour sa part, le président du parti Adil, Yahya Ould Ahmed Waghf a déclaré que la COD, par ce meeting, envoie au Pouvoir un avertissement pour amorcer le dialogue avec elle, tel que stipulé dans l’Accord de Dakar pour l’après élections présidentielles.
Intervenant, à son tour, le président du RFD Ahmed Ould Daddah dira: «La Mauritanie n’a besoin que du changement au niveau de l’exécutif et rien d’autre. Ce qui se passe actuellement au sein de l’université de Nouakchott n’est pas digne d’un gouvernement qui se préoccupe de la cohésion nationale entre les différentes composantes de sa populations».
Enfin, le président en exercice de la COD et président de l’APP, Messaoud Ould Boulkheir prendra la parole pour dire: « Si Ould Abdel Aziz était le ‘’président des pauvres’’ comme il aime se faire appeler, la situation des pauvres allait aujourd’hui trouver une solution. L’identité de notre peuple est islamique, arabe et africaine. Nous avons des Arabes, des Poulars, des Soninkés, des Wolofs et des Bambaras. C’est malheureux d’assister à ce qui se passe actuellement au sein de notre seule et unique université. Si Mohamed Ould Abdel Aziz est incapable de faire le bonheur des populations mauritaniennes qu’il s’en aille de la présidence de la république. Lui et son gouvernement ne cessent de montrer leurs incapacités de gouverner».
Source: ani
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