Un dirigeant du parti mauritanien des Forces progressistes pour le changement (FPC) a affirmé, mardi, que le gouvernement a annoncé, lundi, sa décision de ne pas accorder d’autorisation à leur mouvement.
Le dirigeant du FPC, qui a requis l'anonymat, a déclaré à Anadolu que «le ministère de l’Intérieur a invoqué les fallacieux prétextes, de la menace à l'unité nationale, et des revendications séparatistes».
L'interdiction intervient un jour après le report par le parti d'un rassemblement, dans la capitale Nouakchott, qu'il comptait tenir dimanche dernier et qu'il a dû reporter à la semaine prochaine, en raison des précipitations, selon un communiqué publié antérieurement par le FPC.
Les membres du parti ont menacé de descendre dans la rue si les autorités mauritaniennes refusent d'accorder une autorisation à leur mouvement. Le FPC qui recrute principalement ses membres dans les rangs de la communauté noire de Mauritanie, est accusé d’alimenter des tendances séparatistes. Il exige à cet égard, de changer la constitution du pays, et d’octroyer l'autonomie aux régions du sud-est du pays.
Le mouvement des Forces de libération africaines de Mauritanie (FLAM) a mué, il y a plus d’un an, pour constituer les Forces Progressistes pour le Changement (FPC). Mais les autorités mauritaniennes refusent de délivrer une autorisation au nouveau parti. La loi mauritanienne interdit en effet l'octroi de licence aux partis politiques sur des bases ethniques ou sectaires.
source: http://www.aa.com.tr
Le dirigeant du FPC, qui a requis l'anonymat, a déclaré à Anadolu que «le ministère de l’Intérieur a invoqué les fallacieux prétextes, de la menace à l'unité nationale, et des revendications séparatistes».
L'interdiction intervient un jour après le report par le parti d'un rassemblement, dans la capitale Nouakchott, qu'il comptait tenir dimanche dernier et qu'il a dû reporter à la semaine prochaine, en raison des précipitations, selon un communiqué publié antérieurement par le FPC.
Les membres du parti ont menacé de descendre dans la rue si les autorités mauritaniennes refusent d'accorder une autorisation à leur mouvement. Le FPC qui recrute principalement ses membres dans les rangs de la communauté noire de Mauritanie, est accusé d’alimenter des tendances séparatistes. Il exige à cet égard, de changer la constitution du pays, et d’octroyer l'autonomie aux régions du sud-est du pays.
Le mouvement des Forces de libération africaines de Mauritanie (FLAM) a mué, il y a plus d’un an, pour constituer les Forces Progressistes pour le Changement (FPC). Mais les autorités mauritaniennes refusent de délivrer une autorisation au nouveau parti. La loi mauritanienne interdit en effet l'octroi de licence aux partis politiques sur des bases ethniques ou sectaires.
source: http://www.aa.com.tr