Les membres du bureau des parents d’élèves du lycée de Sélibabi, sont à couteaux tirés avec le surveillant général de l’Etablissement, Mr Diak Ibrahima qu’ils accusent « d’exploiter les élèves pour enrichir son commerce. »
Dans des correspondances en date du 09/03/10 et du 14/04/10, enregistrées sous les numéros 741 et 889 adressées à la Direction de l'Enseignement Secondaire, le bureau des parents d’élèves du lycée de Sélibabi exige du ministre de tutelle, l’affectation du surveillant général.
Dans la plainte adressée au ministre, les signataires déclarent que depuis la confirmation de monsieur Diak comme surveillant général en 2008, les plaintes des élèves et des parents n’ont cessé de se multiplier. Jetant le pavé dans la mare, ils soulignent que le surveillant général est insouciant des intérêts des élèves, car selon eux, la surveillance a été transformée en studio de photos et de papeterie, « il oblige les élèves à se faire photographier, sinon il les prive de leurs cours» note la correspondance. Il s’agit de photos d’identité accompagnant les dossiers scolaires des apprenants. Selon les parents, Mr Diak s’intéresse plus à l’avoir qu’aux intérêts des enfants, « uniquement pour alimenter son commerce. » soulignent-ils.
Pire, ils déclarent que le nommé joue sur la corde de sensibilité du Directeur de l’établissement, « il s’est permis en début d’année de donner des inscriptions à des enfants, qui, après trois mois de cours ont compris que leurs noms ne figuraient sur aucune liste officielle de l’établissement. », souligne la correspondance. Selon les membres du bureau, le sieur Diak n’a de respect pour personne, même aux membres du Bureau des parents d’élèves « qu’il n’a cessé de renvoyer de son bureau. » clament-ils.
Enfonçant le clou, ils affirment que le Surveillant général avait profité du déménagement de la surveillance pour bruler les dossiers des élèves, afin de les pousser à se réinscrire de nouveau.
Les membres du bureau des parents du lycée de Sélibabi, demandent purement et simplement l’affectation de Monsieur Diak Ibrahima.
Afin d’éviter que la situation ne dégénère, ils demandent au ministre de l’Enseignement Secondaire d’agir, faute de quoi les soulèvements des enfants seront inévitables.
Dialtabé
Source : le quotidien.
Dans des correspondances en date du 09/03/10 et du 14/04/10, enregistrées sous les numéros 741 et 889 adressées à la Direction de l'Enseignement Secondaire, le bureau des parents d’élèves du lycée de Sélibabi exige du ministre de tutelle, l’affectation du surveillant général.
Dans la plainte adressée au ministre, les signataires déclarent que depuis la confirmation de monsieur Diak comme surveillant général en 2008, les plaintes des élèves et des parents n’ont cessé de se multiplier. Jetant le pavé dans la mare, ils soulignent que le surveillant général est insouciant des intérêts des élèves, car selon eux, la surveillance a été transformée en studio de photos et de papeterie, « il oblige les élèves à se faire photographier, sinon il les prive de leurs cours» note la correspondance. Il s’agit de photos d’identité accompagnant les dossiers scolaires des apprenants. Selon les parents, Mr Diak s’intéresse plus à l’avoir qu’aux intérêts des enfants, « uniquement pour alimenter son commerce. » soulignent-ils.
Pire, ils déclarent que le nommé joue sur la corde de sensibilité du Directeur de l’établissement, « il s’est permis en début d’année de donner des inscriptions à des enfants, qui, après trois mois de cours ont compris que leurs noms ne figuraient sur aucune liste officielle de l’établissement. », souligne la correspondance. Selon les membres du bureau, le sieur Diak n’a de respect pour personne, même aux membres du Bureau des parents d’élèves « qu’il n’a cessé de renvoyer de son bureau. » clament-ils.
Enfonçant le clou, ils affirment que le Surveillant général avait profité du déménagement de la surveillance pour bruler les dossiers des élèves, afin de les pousser à se réinscrire de nouveau.
Les membres du bureau des parents du lycée de Sélibabi, demandent purement et simplement l’affectation de Monsieur Diak Ibrahima.
Afin d’éviter que la situation ne dégénère, ils demandent au ministre de l’Enseignement Secondaire d’agir, faute de quoi les soulèvements des enfants seront inévitables.
Dialtabé
Source : le quotidien.
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