Au cours de leur meeting populaire organisé hier dans la capitale économique Nouadhibou, les différents discours prononcés par les leaders de la COD ont versé dans le sens de la réaffirmation de leur détermination à faire partir le régime.
Selon des sources proches du rassemblement populaire de la Coordination de l’Opposition Démocratique COD, des milliers de citoyens « venus, malgré les pressions et les intimidations de toute sortes, et malgré les longs contours que leur a imposé l’administration qui a fermé plusieurs routes menant à la place du meeting » ont assisté au meeting.
« Le défi lancé par l’opposition au pouvoir de Ould Abdel Aziz a été relevé haut la main, transformant le meeting de l’UPR en un non événement, boycotté par les populations de la ville, et même par ses organisateurs eux-mêmes, si l’on en juge par le niveau des intervenants », indiquent les mêmes sources.
Dans leurs différentes interventions, les leaders de la COD ont tour à tour « fustigé le régime despotique de Mohamed Ould Abdel Aziz et mis en garde contre le danger qu’il constitue désormais pour le pays ».
« C’est un pouvoir dictatorial, sans vision ni projet pour le pays et, pire encore, qui ne respecte pas ses engagements et dévaste notre économie en abreuvant le peuple de mensonges et de promesses démagogiques » disent-ils.
Les Présidents de la COD ont rassuré les habitants de la capitale économique sur l’unité de l’opposition et sa détermination à poursuivre son combat démocratique « pour précipiter la chute de Mohamed Ould Abdel Aziz et libérer le pays de son emprise ».
« Ce régime n’a aucun sens de la conduite des affaires de l’Etat et notre économie, par sa faute, connaît un effondrement sans précédent » a dit Monsieur Ahmed Ould Daddah, président en exercice de la COD.
Le chef de file de l’opposition a également dit « nous devons tout faire pour le faire partir. La démocratie s’arrache et ne se donne pas », déplorant les conditions des populations de Nouadhibou et compatissant avec « les souffrances entretenues par Mohamed Ould Abdel Aziz et son pouvoir ».
Auparavant, le Président de l’Assemblée nationale, Monsieur Messaoud Ould Boulkheir avait pris la parole et mis en exergue les carences évidentes et contradictions (diplomatiques surtout) du régime de Mohamed Ould Abdel Aziz, appelant les populations de Nouadhibou à « contribuer activement au départ de ce régime qui constitue une catastrophe pour notre pays et qui, inéluctablement, devra tomber ».
Source: emjad.net
Selon des sources proches du rassemblement populaire de la Coordination de l’Opposition Démocratique COD, des milliers de citoyens « venus, malgré les pressions et les intimidations de toute sortes, et malgré les longs contours que leur a imposé l’administration qui a fermé plusieurs routes menant à la place du meeting » ont assisté au meeting.
« Le défi lancé par l’opposition au pouvoir de Ould Abdel Aziz a été relevé haut la main, transformant le meeting de l’UPR en un non événement, boycotté par les populations de la ville, et même par ses organisateurs eux-mêmes, si l’on en juge par le niveau des intervenants », indiquent les mêmes sources.
Dans leurs différentes interventions, les leaders de la COD ont tour à tour « fustigé le régime despotique de Mohamed Ould Abdel Aziz et mis en garde contre le danger qu’il constitue désormais pour le pays ».
« C’est un pouvoir dictatorial, sans vision ni projet pour le pays et, pire encore, qui ne respecte pas ses engagements et dévaste notre économie en abreuvant le peuple de mensonges et de promesses démagogiques » disent-ils.
Les Présidents de la COD ont rassuré les habitants de la capitale économique sur l’unité de l’opposition et sa détermination à poursuivre son combat démocratique « pour précipiter la chute de Mohamed Ould Abdel Aziz et libérer le pays de son emprise ».
« Ce régime n’a aucun sens de la conduite des affaires de l’Etat et notre économie, par sa faute, connaît un effondrement sans précédent » a dit Monsieur Ahmed Ould Daddah, président en exercice de la COD.
Le chef de file de l’opposition a également dit « nous devons tout faire pour le faire partir. La démocratie s’arrache et ne se donne pas », déplorant les conditions des populations de Nouadhibou et compatissant avec « les souffrances entretenues par Mohamed Ould Abdel Aziz et son pouvoir ».
Auparavant, le Président de l’Assemblée nationale, Monsieur Messaoud Ould Boulkheir avait pris la parole et mis en exergue les carences évidentes et contradictions (diplomatiques surtout) du régime de Mohamed Ould Abdel Aziz, appelant les populations de Nouadhibou à « contribuer activement au départ de ce régime qui constitue une catastrophe pour notre pays et qui, inéluctablement, devra tomber ».
Source: emjad.net
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