Le Mali démarre en septembre l’exploitation de son minerai de fer de Moribabougou.
Les réserves sont estimées à 91,13 millions de tonnes et seront extraites au rythme de 50 000 tonnes par an.
C’est la Société Sahara Mining SA détenue à 80% par l’indien SGNCO et à 20% par l’Etat malien qui exploitera le gisement dont la teneur est bonne.
Le fer apportera aux caisses de l’Etat environ 7 millions de dollars par an et permettra de créer 1636 emplois.
Le Mali qui ne dispose d’accès maritime a choisi le port de Dakar pour acheminer sa production vers l’Inde, la Chine et l’Europe.
La dernière tension avec la Mauritanie née des activités terroristes au Sahel aurait dissuadé la Mali de recourir aux services du PANPA (Port autonome de Nouakchott).
Ainsi, la route de Nioro n’aura pas servi à grand-chose.
En tout cas, une opportunité commerciale vient d’échapper à notre pays dont les hauts responsables manquent de vision stratégique, occupés qu’ils sont par les mesquines intrigues de la politique politicienne locale.
Source: rim24.info
Les réserves sont estimées à 91,13 millions de tonnes et seront extraites au rythme de 50 000 tonnes par an.
C’est la Société Sahara Mining SA détenue à 80% par l’indien SGNCO et à 20% par l’Etat malien qui exploitera le gisement dont la teneur est bonne.
Le fer apportera aux caisses de l’Etat environ 7 millions de dollars par an et permettra de créer 1636 emplois.
Le Mali qui ne dispose d’accès maritime a choisi le port de Dakar pour acheminer sa production vers l’Inde, la Chine et l’Europe.
La dernière tension avec la Mauritanie née des activités terroristes au Sahel aurait dissuadé la Mali de recourir aux services du PANPA (Port autonome de Nouakchott).
Ainsi, la route de Nioro n’aura pas servi à grand-chose.
En tout cas, une opportunité commerciale vient d’échapper à notre pays dont les hauts responsables manquent de vision stratégique, occupés qu’ils sont par les mesquines intrigues de la politique politicienne locale.
Source: rim24.info
Actualités
