La deuxième session ordinaire du Parlement s’ouvre cet après-midi à 17 heures 30. Une session qui intervient au moment où il n’existe pratiquement plus de contact entre la majorité et l’opposition, si ce n’est à travers une guerre de communiqués et de déclarations virulentes de part et d’autre.
Si au Sénat, la majorité bénéficie d’une écrasante majorité acquise depuis longtemps, l’Assemblée nationale semble lui emboiter le pas. Au niveau de la chambre basse, la majorité présidentielle dispose de 64 députés sur les 95 que compte cette chambre, soit plus des 2/3. Un quota largement suffisant pour voter une révision constitutionnelle, par exemple.
Très remonté contre le pouvoir ces derniers mois, le président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir, va-t-il continuer à faire monter la pression ou adopter une attitude plus « sage », comme lors de son discours d’ouverture de la première session en novembre dernier ?
Source : canal rim via cridem.
Si au Sénat, la majorité bénéficie d’une écrasante majorité acquise depuis longtemps, l’Assemblée nationale semble lui emboiter le pas. Au niveau de la chambre basse, la majorité présidentielle dispose de 64 députés sur les 95 que compte cette chambre, soit plus des 2/3. Un quota largement suffisant pour voter une révision constitutionnelle, par exemple.
Très remonté contre le pouvoir ces derniers mois, le président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir, va-t-il continuer à faire monter la pression ou adopter une attitude plus « sage », comme lors de son discours d’ouverture de la première session en novembre dernier ?
Source : canal rim via cridem.
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