L’organisation SOS Esclaves, présidée par Boubacar Ould Messaoaud, ong autorisée, vient de porter des accusations contre les autorités du Brakna. L’organisation accuse le Wali du Brakna, Zeinebou Mint Ahmeda (photo ci-contre) et le maire de la commune de Mâle, Ahmed Ould Boibou « d’actes racistes et discriminatoires contre des populations » de cette municipalité.
L’affaire porte sur la mise en place d’un réseau d’adduction d’eau potable confié à la commune de Mâle pour la réalisation de 170 branchements.
Selon SOS Esclaves, le maire de la commune avec la complicité des autorités de la wilaya du Brakna a « délibérément privé tous les quartiers situés au nord-est de la ville, majoritairement peuplés de Hratine ».
Le 11 avril dernier, pour protester contre cette mesure, des habitants de ces quartiers empêchent les travaux et défient l’autorité locale. Les meneurs de la protestation (Mohamed Ould Samba, Boubacar Ould Samba, Yacoub Ould Abeïd El Barka, Mabrouk Ould Salem, Ali Ould Abdatt et Laghdaf) sont alors conduits au poste de la Brigade de gendarmerie de Mâle.
Informé, le Premier ministre, Moulaye Ould Mohamed Laghdaf dépêche une mission d’enquête sur place, le 13 avril.
Peu après, les personnes arrêtées sont relâchées et la situation est « rétablie » selon SOS esclaves qui assure que « les branchements prévus augmenteront d’une cinquantaine d’unités et desserviront le quartier démuni, pour l’essentiel peuplé de militants de l’APP », un parti de l’opposition parlementaire dont SOS esclaves est très proche.
Source: canalrim.info
L’affaire porte sur la mise en place d’un réseau d’adduction d’eau potable confié à la commune de Mâle pour la réalisation de 170 branchements.
Selon SOS Esclaves, le maire de la commune avec la complicité des autorités de la wilaya du Brakna a « délibérément privé tous les quartiers situés au nord-est de la ville, majoritairement peuplés de Hratine ».
Le 11 avril dernier, pour protester contre cette mesure, des habitants de ces quartiers empêchent les travaux et défient l’autorité locale. Les meneurs de la protestation (Mohamed Ould Samba, Boubacar Ould Samba, Yacoub Ould Abeïd El Barka, Mabrouk Ould Salem, Ali Ould Abdatt et Laghdaf) sont alors conduits au poste de la Brigade de gendarmerie de Mâle.
Informé, le Premier ministre, Moulaye Ould Mohamed Laghdaf dépêche une mission d’enquête sur place, le 13 avril.
Peu après, les personnes arrêtées sont relâchées et la situation est « rétablie » selon SOS esclaves qui assure que « les branchements prévus augmenteront d’une cinquantaine d’unités et desserviront le quartier démuni, pour l’essentiel peuplé de militants de l’APP », un parti de l’opposition parlementaire dont SOS esclaves est très proche.
Source: canalrim.info
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