C’est tout un pays, voire tout un continent qui attendait ce jour avec impatience et il est arrivé. Le coup d’envoi de la Coupe du monde de football vient d’être donné. Notre correspondant en Afrique du Sud, Nicolas Champeaux, se trouve aux abords du stade de Soccer City près de Soweto, où l’acheminement vers le stade a été plutôt difficile.
La situation aux abords du stade est plutôt chaotique, les supporteurs convergent encore vers le stade alors que, la cérémonie d’ouverture est commencée. Il y a d’interminables bouchons sur toutes les grandes artères qui mènent à Soccer City. Et c’est assez fâcheux car la cérémonie est retransmise en direct. Il y a en principe vingt chefs d’Etat à la tribune d’honneur mais il y a encore de nombreuses places vides dans le stade.
Alors ce matin, le secrétaire général de la FIFA, Jérôme Valcke, a dit que « l’acheminement des supporteurs vers les stades était le maillon faible de cette Coupe du monde ». Et bien, les faits lui donnent raison.
A titre d’exemple, je suis monté dans un bus affrété par la FIFA pour les journalistes. Il a mis 3 heures 20 avant d’arriver au stade de Soweto alors que pour le même trajet, en temps normal, il faut 25 minutes.
Et alors que la cérémonie est commencée, il reste encore de longues files de voitures coincées dans les embouteillages.
A l’intérieur du stade, une cérémonie haute en couleurs
Un baobab en carton aux couleurs de tous les drapeaux du monde est posé au centre du terrain. Il est entouré de personnes qui portent des espèces de blouses couleur argent, tandis que des rangées de personnes vêtues de blanc se préparent à entourer le baobab et portent des drapeaux de nombreux pays, sans doute les pays des 32 équipes qualifiées pour cette Coupe du monde de 2010, la première sur le sol africain.
Beaucoup de monde dans les gradins et les Bafana Bafana entrent dans l’arène dans moins de deux heures.
L’impatience. Cela fait 6 ans que le nom de l’Afrique du Sud a été tiré du chapeau alors les Bafana Bafana n’ont pas eu des saisons faciles ces dernières années, mais ils fondent énormément d’espoir dans cette Coupe du monde. Ils vont être portés par près de 90 000 spectateurs qui vont s’époumoner dans leurs vuvuzelas.
Les spectateurs feront donc du bruit pour encourager les Bafana Bafana qui affrontent aujourd’hui le Mexique, une équipe bien mieux classée qu’eux. Mais dans l’histoire de la Coupe du monde, jamais une équipe organisatrice n’a été éliminée dès les phases de pool et les Sud-Africains n’ont pas envie d’entrer dans l’histoire de cette façon. Lors de la Coupe du monde en Corée, les Coréens qu’on ne donnait pas favoris avaient fait un très beau tournoi. Donc tout est possible. Les Sud-Africains ici veulent y croire.
Source : RFI.
La situation aux abords du stade est plutôt chaotique, les supporteurs convergent encore vers le stade alors que, la cérémonie d’ouverture est commencée. Il y a d’interminables bouchons sur toutes les grandes artères qui mènent à Soccer City. Et c’est assez fâcheux car la cérémonie est retransmise en direct. Il y a en principe vingt chefs d’Etat à la tribune d’honneur mais il y a encore de nombreuses places vides dans le stade.
Alors ce matin, le secrétaire général de la FIFA, Jérôme Valcke, a dit que « l’acheminement des supporteurs vers les stades était le maillon faible de cette Coupe du monde ». Et bien, les faits lui donnent raison.
A titre d’exemple, je suis monté dans un bus affrété par la FIFA pour les journalistes. Il a mis 3 heures 20 avant d’arriver au stade de Soweto alors que pour le même trajet, en temps normal, il faut 25 minutes.
Et alors que la cérémonie est commencée, il reste encore de longues files de voitures coincées dans les embouteillages.
A l’intérieur du stade, une cérémonie haute en couleurs
Un baobab en carton aux couleurs de tous les drapeaux du monde est posé au centre du terrain. Il est entouré de personnes qui portent des espèces de blouses couleur argent, tandis que des rangées de personnes vêtues de blanc se préparent à entourer le baobab et portent des drapeaux de nombreux pays, sans doute les pays des 32 équipes qualifiées pour cette Coupe du monde de 2010, la première sur le sol africain.
Beaucoup de monde dans les gradins et les Bafana Bafana entrent dans l’arène dans moins de deux heures.
L’impatience. Cela fait 6 ans que le nom de l’Afrique du Sud a été tiré du chapeau alors les Bafana Bafana n’ont pas eu des saisons faciles ces dernières années, mais ils fondent énormément d’espoir dans cette Coupe du monde. Ils vont être portés par près de 90 000 spectateurs qui vont s’époumoner dans leurs vuvuzelas.
Les spectateurs feront donc du bruit pour encourager les Bafana Bafana qui affrontent aujourd’hui le Mexique, une équipe bien mieux classée qu’eux. Mais dans l’histoire de la Coupe du monde, jamais une équipe organisatrice n’a été éliminée dès les phases de pool et les Sud-Africains n’ont pas envie d’entrer dans l’histoire de cette façon. Lors de la Coupe du monde en Corée, les Coréens qu’on ne donnait pas favoris avaient fait un très beau tournoi. Donc tout est possible. Les Sud-Africains ici veulent y croire.
Source : RFI.
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