Il y a déjà eu 25 cas suspects signalés, huit cas confirmés et quatre morts. C’est le premier bilan de l'épidémie de fièvre de la vallée du rift en Mauritanie. Même si le moustique peut transmettre la maladie, les personnes les plus à risques restent celles qui sont entrées en contact avec des animaux contaminés.
« Il faut dire que le mode de transmission de la fièvre de la vallée du Rift le plus fréquent, c’est de l’animal contaminé à l’homme. Ce mode de transmission de l’animal à l’homme est créé par contact avec le sang ou les organes d’animaux contaminés.
Et ce sont surtout les éleveurs, les agriculteurs, les employés des abattoirs, les vétérinaires qui sont les plus exposés », rappelle Jean-Pierre Baptiste, représentant de l'OMS à Nouakchott.
Cette épidémie n'a cependant rien d'exceptionnel, assure le représentant de l'OMS à Nouakchott qui rappelle que le pays a déjà été touché en 2010 et 2012.
« Il faut dire que le mode de transmission de la fièvre de la vallée du Rift le plus fréquent, c’est de l’animal contaminé à l’homme. Ce mode de transmission de l’animal à l’homme est créé par contact avec le sang ou les organes d’animaux contaminés.
Et ce sont surtout les éleveurs, les agriculteurs, les employés des abattoirs, les vétérinaires qui sont les plus exposés », rappelle Jean-Pierre Baptiste, représentant de l'OMS à Nouakchott.
Cette épidémie n'a cependant rien d'exceptionnel, assure le représentant de l'OMS à Nouakchott qui rappelle que le pays a déjà été touché en 2010 et 2012.