L’ancien président de la Confédération helvétique Joseph Deiss a été élu, vendredi 11 juin 2010 à New York, à la présidence de l'Assemblée générale de l'ONU. Il succèdera au Libyen Ali Treki au début de la 65e session de l'AG, le 14 septembre. Son mandat durera une année. M. Deiss était l'unique candidat présenté par le groupe des Etats d'Europe occidentale, Etats-Unis d’Amérique, Canada et Israël. Chaque année, le poste de président de l'AG est attribué à un représentant de l'un des cinq groupes géopolitiques qui constituent l'organisation. En tant que président de l'AG, Joseph Deiss détiendra formellement la plus haute fonction au sein de l'ONU. Mais au contraire du secrétaire général Ban Ki-Moon, il n'aura aucun pouvoir décisionnel. Son rôle sera essentiellement d'ouvrir, de conduire et de clore les assemblées plénières. En cas d'empêchement, il peut être remplacé par un de ses 21 vice-présidents. Pour cette 65ème assemblée générale, la Mauritanie a été élue première vice-présidente.
Mais pour revenir au nouveau président de l'Assemblée générale de l'ONU, et ironie de l'histoire, Joseph Deiss succédera à Ali Abdessalam Treki, qui a réclamé cet été, après la honteuse interdiction des minarets, un débat sur un démantèlement de la Suisse et un partage entre ses voisins. Cette demande avait été refusée, parce qu'elle contredit les principes de la charte des Nations Unies.
Source: Mauritanie24
Mais pour revenir au nouveau président de l'Assemblée générale de l'ONU, et ironie de l'histoire, Joseph Deiss succédera à Ali Abdessalam Treki, qui a réclamé cet été, après la honteuse interdiction des minarets, un débat sur un démantèlement de la Suisse et un partage entre ses voisins. Cette demande avait été refusée, parce qu'elle contredit les principes de la charte des Nations Unies.
Source: Mauritanie24
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