PS:C'est ne pas en censurant que vous cesserez d'entendre où de lire la vérité.L'avomm s'est spécialisée dans la division des victimes du racisme d'état et l'esclavage en Mauritanie. Les haratine sont systématiquement traités d'assassins dans ce site sous l'œil bien veillant du webmaster.
Les Haratine sont taclés dans tous les sens. Ils sont accusés de tous les mots par les uns et autres. Je cite : « Les haratines ont été les bras assassins des beydanes blancs, qui peut dire le contraire? » Au pseudonyme Kwar, moi je vous dis le contraire et ce que vous tentez de distiller est
archifaux. Cette phrase révèle bien que l’avomm est actuellement au service de la propagande du général Ould Abdel Aziz . Je pose cette question au webmaster du site : qu’ont-ils fait les Anne Amadou Babaly, Mamoudou Samboly Ba,etc………..pour la libération des haratine ? Ces hommes étaient mieux placés que Messaoud dans l’appareil d’état en Mauritanie mais ils m’ont rien fait pour dénoncer l’esclavage des maures blancs mais aussi l’utilisation de ces derniers comme bras armée. C’est facile d’accusé, je cite encore : « C'est aux haratines de se libérer, ils ne travestirons pas notre lutte, on se rappelle ce que Messoud disait à propos des Kwars. » Est-ce que les haratine ont demandé une l’aide quelconque aux commentateurs malsains d’esprit de l’avomm ? Il était plus judicieux que l’auteur de ce torchon nous publie ce qu’à dit Messaoud. N’est ce pas une volonté manifeste de ternir l’image des haratine et le noble combat qu’ils mènent certainement pour toucher quelques miettes comme à l’accoutume. Par contre tout le monde peut témoigner ce qu’à fait Messaoud pour les déportés. C’est grâce à lui et tant d’autres mouvements politiques que le retour de ces derniers a été rendu possible. Vous ne trompez personne, en tout cas l’avomm n’est pas à l’origine du retour des déportés.
La preuve est là devant le monde entier, le président de l’avomm Ousmane Abdel Sarr est parti léché
le botte du général Ould abdel Aziz qui était le premier protecteur du dictateur assassin Ould Taya afin d’enterré les problèmes des déportés. Qu’est-ce-que Messaoud a fait de mal qui vous empêche même de respirer ? Voici la réponse sous la plume Mauritanie24.
« Personnalité
incontournable du milieu haratine, grand pourfendeur devant l’Eternel des militaires, Meassoud Ould Boulkheïr a été élu député en novembre 2001 sous la dictature Ould Taya. Pour la petite histoire, il est le premier élu, sous les deux décades dictatoriales d’Ould Taya, et dans l’enceinte du Parlement, à
exiger le retour organisé et digne des réfugiés mauritaniens au Mali et au Sénégal et la mise sur place d’une commission d’enquête sur les centaines demilitaires mauritaniens qui moururent dans les casernes où ils étaient parqués.
Les interventions de Messaoud, au cours des débats de l’hémicycle relayés par la radio et la télévision nationales, étaient généralement bien suivies et les populations de la Vallée le surnommèrent « Mandela ». Irrité par ses sorties, Ould Taya dissout « Action pour le changement » (AC), le parti de Messaoud. En réaction à l’interdiction de AC, il crée « la Convention pour le Changement » (CC), parti jamais reconnu par le pouvoir de l’époque. ».
Diko
hanoune
Les Haratine sont taclés dans tous les sens. Ils sont accusés de tous les mots par les uns et autres. Je cite : « Les haratines ont été les bras assassins des beydanes blancs, qui peut dire le contraire? » Au pseudonyme Kwar, moi je vous dis le contraire et ce que vous tentez de distiller est
archifaux. Cette phrase révèle bien que l’avomm est actuellement au service de la propagande du général Ould Abdel Aziz . Je pose cette question au webmaster du site : qu’ont-ils fait les Anne Amadou Babaly, Mamoudou Samboly Ba,etc………..pour la libération des haratine ? Ces hommes étaient mieux placés que Messaoud dans l’appareil d’état en Mauritanie mais ils m’ont rien fait pour dénoncer l’esclavage des maures blancs mais aussi l’utilisation de ces derniers comme bras armée. C’est facile d’accusé, je cite encore : « C'est aux haratines de se libérer, ils ne travestirons pas notre lutte, on se rappelle ce que Messoud disait à propos des Kwars. » Est-ce que les haratine ont demandé une l’aide quelconque aux commentateurs malsains d’esprit de l’avomm ? Il était plus judicieux que l’auteur de ce torchon nous publie ce qu’à dit Messaoud. N’est ce pas une volonté manifeste de ternir l’image des haratine et le noble combat qu’ils mènent certainement pour toucher quelques miettes comme à l’accoutume. Par contre tout le monde peut témoigner ce qu’à fait Messaoud pour les déportés. C’est grâce à lui et tant d’autres mouvements politiques que le retour de ces derniers a été rendu possible. Vous ne trompez personne, en tout cas l’avomm n’est pas à l’origine du retour des déportés.
La preuve est là devant le monde entier, le président de l’avomm Ousmane Abdel Sarr est parti léché
le botte du général Ould abdel Aziz qui était le premier protecteur du dictateur assassin Ould Taya afin d’enterré les problèmes des déportés. Qu’est-ce-que Messaoud a fait de mal qui vous empêche même de respirer ? Voici la réponse sous la plume Mauritanie24.
« Personnalité
incontournable du milieu haratine, grand pourfendeur devant l’Eternel des militaires, Meassoud Ould Boulkheïr a été élu député en novembre 2001 sous la dictature Ould Taya. Pour la petite histoire, il est le premier élu, sous les deux décades dictatoriales d’Ould Taya, et dans l’enceinte du Parlement, à
exiger le retour organisé et digne des réfugiés mauritaniens au Mali et au Sénégal et la mise sur place d’une commission d’enquête sur les centaines demilitaires mauritaniens qui moururent dans les casernes où ils étaient parqués.
Les interventions de Messaoud, au cours des débats de l’hémicycle relayés par la radio et la télévision nationales, étaient généralement bien suivies et les populations de la Vallée le surnommèrent « Mandela ». Irrité par ses sorties, Ould Taya dissout « Action pour le changement » (AC), le parti de Messaoud. En réaction à l’interdiction de AC, il crée « la Convention pour le Changement » (CC), parti jamais reconnu par le pouvoir de l’époque. ».
Diko
hanoune
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