Je demande à tout Noir africain digne de ne jamais souiller sa main en saluant ce «Tirailleur sénégalais » du Système Bîdhân, Me Papa SENE



Moi, Ibiraahiima Abuu SAL, suite à cette déclaration hypocrite, mensongère et inhumaine, j’affiche publiquement un mépris intégral à ce Me Papa SENE qui porte avec indignité un prénom de notre fière nation Seereer,
Vues les souffrances que continuent de vivre les Bamana, les Fulɓe, les Sooninko et les Wolof de la Mauritanie depuis 1960 (arrestations et massacres en 1966, arrestations, massacres et déportations, viols de femmes dont plusieurs en état de grossesses furent éventrées, castration des hommes pour les empêcher de produire des enfants qui rendraient, selon le Système Bîdhân, encore les Noirs plus nombreux que les Bîdhân Arabo-berbères entre 1986-1989, pendaisons du 28 novembre 1990 pour célébrer les 30 ans de la prétendue indépendance de la Mauritanie, confiscation évolutive des terres du bassin du Fleuve Sénégal depuis le Waalo Barak jusqu’au Gidimaxa pour les distribuer à des familles Bîdhân avec une forte alliance de familles H’râtîn qui jouent depuis 1966 le même rôle que les « Tirailleurs Sénégalais », les « Spahis Algériens et marocains » au détriment des populations autochtones),
Vues les discriminations raciales, les discriminations socio-culturelles avec une pratique systématique de l’arabisation avec ses conséquences socio-économiques ;
Vue la poursuite de la pratique de l’esclavage au sein de la société Bîdhân arabo-berbère, cette personne méprisable et corrompue déclare, je cite : «Contrairement à certaines allégations à l'extérieur, la situation des droits de l'Homme en Mauritanie est favorable et satisfaisante compte tenu du climat des libertés et de la consécration des droits fondamentaux».
Je demande à tout Noir africain digne de ne jamais souiller sa main en saluant ce «Tirailleur sénégalais » du Système Bîdhân, Me Papa SENE
Je demande à tout Bamana digne, tout Pullo digne, tout Sooninke digne, tout wolof digne de ne jamais souiller sa main en saluant ce «Tirailleur sénégalais » du Système Bîdhân, Me Papa SENE

Konŋgol way kono ndiyam nii. So rufaama ɓoftotaako (La parole, c’est comme de l’eau. Quand on verse, on ne peut plus la ramasser)

Continuons à lutter pour notre dignité humaine que nous aurons un jour
Hare koko jokki haa poolgu (La lutte continue jusqu’à la victoire finale)

Ibiraahiima Abuu SAL (Abuu Keccel SAL)
-Haayre MBaara-Kasga (Laaw)
-Sinycu Daŋɗe- Ɓoggee (Halayɓe);
-Fimmbo (Damnga)
2017, jolal, 02 naasaande (jeudi, 02 novembre 2017)

Jeudi 2 Novembre 2017
Boolumbal Boolumbal
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