Une discussion entre des étudiants de l’université de Nouakchott a dégénéré, ce matin, en une rixe entre ceux qui refusent une « généralisation de l’arabe au niveau de l’administration » et ceux qui clament « oui aux langues locales, oui au Soninké, Wolof, Pulaar, non au français ». Depuis quelques jours, les autorités académiques ont interdit d’accès le campus universitaire aux forces de l’ordre et aux journalistes ; toutefois des unités de la police sont toujours en faction devant l’Université.
Après l’intervention de ces forces qui ont procédé à l’arrestation de plusieurs étudiants dans les deux camps, la situation semble se calmer.
Source: canalrim.info
Après l’intervention de ces forces qui ont procédé à l’arrestation de plusieurs étudiants dans les deux camps, la situation semble se calmer.
Source: canalrim.info
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