
Selon une source bien informée, les partis de la coordination de l’opposition refusent l’invitation que le parti au pouvoir leur a adressée pour participer aux journées qu’il organise sur les thèmes de la lutte contre la gabegie.
Selon une source au sein de l’opposition, le Président de la République applique un agenda unilatéral sans aucune concertation avec les partis de l’opposition. Pour l’opposition ceci est contraire à l’esprit et aux textes des accords de Dakar. La réalité est que l’opposition ne sait plus ce qu’elle veut ni comment faire pour gagner la sympathie des mauritaniens. Le combat de l’opposition depuis sa naissance était la lutte contre la gabegie, la lutte contre la pauvreté, la lutte contre l’injustice ; la rupture des relations diplomatiques entre notre pays et l’Etat d’Israël et l’appel au dialogue entre les différents acteurs politiques nationaux.
Toutes ces revendications ont été prises en charge par le Président Aziz. Certains sont même allés jusqu’à dire que Aziz a pris sur lui le discours de l’opposition et l’ensemble de ses revendications à telle enseigne que durant la campagne il avait placé l’opposition dans une mauvaise posture. Elle était considérée par les citoyens comme symbole de la gabegie et ses candidats étaient entourés des anciens membres du système d’Ould Taya.
Aujourd’hui il est devenu clair pour l’opinion publique nationale et internationale que les partis de l’opposition ne veulent que le fauteuil présidentiel. Elle a participé à des élections auxquelles toutes les conditions qu’elle avait posé étaient acceptées mais elle n’a vu que du feu. Elle devait tirer les leçons de son échec et comprendre que le peuple ne veut pas de ses leaders, changer de stratégie et accepter de regarder la réalité e face.
Les mauritaniens ont compris que le Président Aziz cherche leurs intérêts et ceux de la nation toute entière. Lorsque l’opposition avait réclamé l’ouverture des medias officiels cette demande avait été accordée mais l’opposition a refusé de participer au débat. A chaque fois l’opposition tentait d’expliquer son refus par des prétextes qui ne tiennent pas. L’opposition fait une fuite en avant pour éviter de répondre aux invitations du pouvoir.
Il faut souligner que l’UPR, le parti au pouvoir avait dés les premiers jours de sa création lancé un appel au dialogue entre toutes les forces politiques du pays. Son appel pour le dialogue n’est donc pas nouveau. Pourtant on se souvient bien qu’en 2005, le RFD de Ould Daddah et d’autres partis dit à l’époque de l’opposition avaient participé activement à des rencontres organisées par le RDU de Ould Sidi Baba. C’était l’occasion pour les partis politiques à l’époque de discuter de manière informelle des problèmes du pays et de tenter d’accorder leurs violons sur les questions du moment.
Aujourd’hui il est temps pour l’opposition de se ressaisir. Elle doit reconnaitre que le pays est gouverné autrement et qu’il est gouverné de la manière par laquelle elle le souhaitait elle-même. L’opposition doit admettre en, dehors de toute considération subjective que la Mauritanie vit une nouvelle ère, que les problèmes des citoyens sont au cœur de la politique que mène le pouvoir actuel. Elle doit accepter que les automobilistes roulent sur des routes butinées nouvellement crées et que la ville connait une certaine propreté que les prix des denrées de première nécessité sont stables. Elle doit voir la réalité en face et accepter de le dire il n’y a pas de honte à reconnaitre la vérité.
Il y’a des erreurs que le gouvernement fait chaque jour mais le Président prend des mesures pour redresser la situation. Il limoge, relève et sanctionne tous ceux qui commettent des fautes. Il se rend au chevet des malades et dans les quartiers périphériques pour voir de lui-même comment avancent les travaux et les nombreux chantiers qu’il a lancé. Le Président connait le pays et ses problèmes.
L’opposition doit changer de stratégie et jouer son rôle d’opposition elle doit poser les problèmes des citoyens au pouvoir et lui demander de leur trouver des solutions. Il est grand temps que les leaders politiques dans notre pays prennent leur responsabilités et assument leurs actes.
Source: Veridique
Selon une source au sein de l’opposition, le Président de la République applique un agenda unilatéral sans aucune concertation avec les partis de l’opposition. Pour l’opposition ceci est contraire à l’esprit et aux textes des accords de Dakar. La réalité est que l’opposition ne sait plus ce qu’elle veut ni comment faire pour gagner la sympathie des mauritaniens. Le combat de l’opposition depuis sa naissance était la lutte contre la gabegie, la lutte contre la pauvreté, la lutte contre l’injustice ; la rupture des relations diplomatiques entre notre pays et l’Etat d’Israël et l’appel au dialogue entre les différents acteurs politiques nationaux.
Toutes ces revendications ont été prises en charge par le Président Aziz. Certains sont même allés jusqu’à dire que Aziz a pris sur lui le discours de l’opposition et l’ensemble de ses revendications à telle enseigne que durant la campagne il avait placé l’opposition dans une mauvaise posture. Elle était considérée par les citoyens comme symbole de la gabegie et ses candidats étaient entourés des anciens membres du système d’Ould Taya.
Aujourd’hui il est devenu clair pour l’opinion publique nationale et internationale que les partis de l’opposition ne veulent que le fauteuil présidentiel. Elle a participé à des élections auxquelles toutes les conditions qu’elle avait posé étaient acceptées mais elle n’a vu que du feu. Elle devait tirer les leçons de son échec et comprendre que le peuple ne veut pas de ses leaders, changer de stratégie et accepter de regarder la réalité e face.
Les mauritaniens ont compris que le Président Aziz cherche leurs intérêts et ceux de la nation toute entière. Lorsque l’opposition avait réclamé l’ouverture des medias officiels cette demande avait été accordée mais l’opposition a refusé de participer au débat. A chaque fois l’opposition tentait d’expliquer son refus par des prétextes qui ne tiennent pas. L’opposition fait une fuite en avant pour éviter de répondre aux invitations du pouvoir.
Il faut souligner que l’UPR, le parti au pouvoir avait dés les premiers jours de sa création lancé un appel au dialogue entre toutes les forces politiques du pays. Son appel pour le dialogue n’est donc pas nouveau. Pourtant on se souvient bien qu’en 2005, le RFD de Ould Daddah et d’autres partis dit à l’époque de l’opposition avaient participé activement à des rencontres organisées par le RDU de Ould Sidi Baba. C’était l’occasion pour les partis politiques à l’époque de discuter de manière informelle des problèmes du pays et de tenter d’accorder leurs violons sur les questions du moment.
Aujourd’hui il est temps pour l’opposition de se ressaisir. Elle doit reconnaitre que le pays est gouverné autrement et qu’il est gouverné de la manière par laquelle elle le souhaitait elle-même. L’opposition doit admettre en, dehors de toute considération subjective que la Mauritanie vit une nouvelle ère, que les problèmes des citoyens sont au cœur de la politique que mène le pouvoir actuel. Elle doit accepter que les automobilistes roulent sur des routes butinées nouvellement crées et que la ville connait une certaine propreté que les prix des denrées de première nécessité sont stables. Elle doit voir la réalité en face et accepter de le dire il n’y a pas de honte à reconnaitre la vérité.
Il y’a des erreurs que le gouvernement fait chaque jour mais le Président prend des mesures pour redresser la situation. Il limoge, relève et sanctionne tous ceux qui commettent des fautes. Il se rend au chevet des malades et dans les quartiers périphériques pour voir de lui-même comment avancent les travaux et les nombreux chantiers qu’il a lancé. Le Président connait le pays et ses problèmes.
L’opposition doit changer de stratégie et jouer son rôle d’opposition elle doit poser les problèmes des citoyens au pouvoir et lui demander de leur trouver des solutions. Il est grand temps que les leaders politiques dans notre pays prennent leur responsabilités et assument leurs actes.
Source: Veridique