« Nous avons demandé le dialogue entre le pouvoir et l’opposition, Mohamed Ould Abdel Aziz a refusé. Nous ne demandons plus ce dialogue. Notre unique objectif est de faire partir Ould Abdel Aziz du pouvoir » avait dit Messoud Ould Boulkheir, president de l’APP.
Il lui avait été également preté les propos suivants : « Je suis contre la prise du pouvoir par les armes mais si quelqu’un fait un putsch à Ould Abdel Aziz, je ne verserai pas de larmes.» Ces propos qui frisent l’appel à renversement dui pouvoir, ont sémé une une certaine inquiétude au sein de la classe politique mauritanienne et de l’opinion.
La peur est monté d’un cran quand, vendredi dernier, au cours du séminaire de la coordination de l’opposition démocratique (COD), il a été envisagé d’occuper la rue pour « evincer le president de la République.» Que se passera-t-il quand ces discours musclées se traduiront sur le terrain par des actes et agissements concrets. L’opposition parle de moyens de protestation démocratiques et pacifiques. Mais comment va-t-elle « occuper la rue » ? Comment le pouvoir réagira à « cette occupation » ?
Le president de la République n’a pas directement réagi au discours musclé de l’opposition. Quelques signes cependant laissent espérer une probable baisse de la tension actuelle.
Premier signe : la rencontre très inattendue entre le president de la COD, president du RFD, Ahmed Ould Daddah et son ex ami, Kane Hamidou Baba, president du MPR. Vu le degrès d’implication de Kane dans la majorité soutien au president de la République, il est peu probable que sa demarche soit individuelle. Le contenu de la rencontre n’a été revelé ni par le RFD ni par le MPR. Mais dans le contexte actuelle, Kane et Daddah n’ont certainement pas fait impasse sur le sujet Dialogue Opposition/Majorité.
Deuxiéme signe : l’appel de Saleh Ould Hannane. Le president de Hatem, dans un récent meeting à Nouakchott a plaidé le dialogue pour sortir de la crise actuelle.
Troisième signe : la coordination de l’action nationaliste et islamique a elle aussi plaidé la necessité de faire prévaloir le dialogue dans le traitement de toutes les questions nationales majeures.
Source: Quotidien Nouakchott
Il lui avait été également preté les propos suivants : « Je suis contre la prise du pouvoir par les armes mais si quelqu’un fait un putsch à Ould Abdel Aziz, je ne verserai pas de larmes.» Ces propos qui frisent l’appel à renversement dui pouvoir, ont sémé une une certaine inquiétude au sein de la classe politique mauritanienne et de l’opinion.
La peur est monté d’un cran quand, vendredi dernier, au cours du séminaire de la coordination de l’opposition démocratique (COD), il a été envisagé d’occuper la rue pour « evincer le president de la République.» Que se passera-t-il quand ces discours musclées se traduiront sur le terrain par des actes et agissements concrets. L’opposition parle de moyens de protestation démocratiques et pacifiques. Mais comment va-t-elle « occuper la rue » ? Comment le pouvoir réagira à « cette occupation » ?
Le president de la République n’a pas directement réagi au discours musclé de l’opposition. Quelques signes cependant laissent espérer une probable baisse de la tension actuelle.
Premier signe : la rencontre très inattendue entre le president de la COD, president du RFD, Ahmed Ould Daddah et son ex ami, Kane Hamidou Baba, president du MPR. Vu le degrès d’implication de Kane dans la majorité soutien au president de la République, il est peu probable que sa demarche soit individuelle. Le contenu de la rencontre n’a été revelé ni par le RFD ni par le MPR. Mais dans le contexte actuelle, Kane et Daddah n’ont certainement pas fait impasse sur le sujet Dialogue Opposition/Majorité.
Deuxiéme signe : l’appel de Saleh Ould Hannane. Le president de Hatem, dans un récent meeting à Nouakchott a plaidé le dialogue pour sortir de la crise actuelle.
Troisième signe : la coordination de l’action nationaliste et islamique a elle aussi plaidé la necessité de faire prévaloir le dialogue dans le traitement de toutes les questions nationales majeures.
Source: Quotidien Nouakchott
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