
Les prix des denrées de première nécessité montent en dépit des mesures promises par le gouvernement de les réduire. Aujourd’hui, le sucre, le lait , le riz , le thé, le blé pour ne citer que ses produits ont subi d’importantes majoration sur leur coût initial. Les pauvres, dans les quartiers périphériques des grandes villes et les populations à l’intérieur du pays se battent tous les jours pour pouvoir subvenir à leurs besoins.
Dans certains milieux, on porte un grand espoir sur ce début d’année qui selon quelques uns apportera un grand changement dans le vécu quotidien des ménages. On s’attend à une reprise en main par l’Etat de la commercialisation de ces produits vitaux par l’intermédiaire de la SONIMEX qui doit pleinement jouer son rôle. On se rappelle que la dernière opération Ramadan a été un grand succès du fait de la disponibilisation partout dans le pays de marchandises essentielles à bas prix.
En outres, la politique de moralisation et de rationalisation des dépenses publiques et le rude combat mené contre la gabegie en cours peut avoir un effet positif sur la baisse des prix des denrées de première nécessité. Cependant il ne faudrait pas perdre de vue la conjecture mondiale difficile caractérisée par la persistance d’une crise économique qui touche l’équilibre commercial international.
Même s’il faut reconnaître quelque part l’esprit de surenchère qui anime les commerçants mauritaniens qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts au détriment du bien être de la l’écrasante majorité de la population. Toutefois l’espoir de voir les choses changer radicalement est permis en observant l’énergie déployée par les pouvoirs publics dans la refondation de l’Etat et des lois qui relient les différentes couches et les composantes de la nation.
Espérons que cette volonté permette de mettre fin chez nous au commerce sauvage et au profit disproportionné. Qu’elle aboutisse sur la protection du consommateur par une législation contraignante appliquée contre tous ceux qui vendent selon leur propre gré.
Qu’elle finissent en fin par la création de complexes commerciaux au service de l’Etat dans tous les quartiers des grandes villes et des villages les plus reculés avec des prix fixés et contrôlés au model de ce qu’on appelle « les grandes surfaces » dans les pays développés. C’est en ce moment seulement que la flambée intempestive des prix sera jugulée dans notre pays.
Source: Le Veridique
Dans certains milieux, on porte un grand espoir sur ce début d’année qui selon quelques uns apportera un grand changement dans le vécu quotidien des ménages. On s’attend à une reprise en main par l’Etat de la commercialisation de ces produits vitaux par l’intermédiaire de la SONIMEX qui doit pleinement jouer son rôle. On se rappelle que la dernière opération Ramadan a été un grand succès du fait de la disponibilisation partout dans le pays de marchandises essentielles à bas prix.
En outres, la politique de moralisation et de rationalisation des dépenses publiques et le rude combat mené contre la gabegie en cours peut avoir un effet positif sur la baisse des prix des denrées de première nécessité. Cependant il ne faudrait pas perdre de vue la conjecture mondiale difficile caractérisée par la persistance d’une crise économique qui touche l’équilibre commercial international.
Même s’il faut reconnaître quelque part l’esprit de surenchère qui anime les commerçants mauritaniens qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts au détriment du bien être de la l’écrasante majorité de la population. Toutefois l’espoir de voir les choses changer radicalement est permis en observant l’énergie déployée par les pouvoirs publics dans la refondation de l’Etat et des lois qui relient les différentes couches et les composantes de la nation.
Espérons que cette volonté permette de mettre fin chez nous au commerce sauvage et au profit disproportionné. Qu’elle aboutisse sur la protection du consommateur par une législation contraignante appliquée contre tous ceux qui vendent selon leur propre gré.
Qu’elle finissent en fin par la création de complexes commerciaux au service de l’Etat dans tous les quartiers des grandes villes et des villages les plus reculés avec des prix fixés et contrôlés au model de ce qu’on appelle « les grandes surfaces » dans les pays développés. C’est en ce moment seulement que la flambée intempestive des prix sera jugulée dans notre pays.
Source: Le Veridique