Que veut le directeur général adjoint des libertés publiques, Mohamed Mahmoud ould Mohamed Saleh, au président de l’IRA-Mauritanie. Il vient de le soumettre à interrogatoire dans ses locaux. Le Ministère de l’Intérieur Mohamed ould Boïlil qui a sous sa tutelle les services des libertés publiques n’ose plus confronter ouvertement le mouvement de libération des esclaves ? Il se cache donc derrière son subalterne. On se rappelle que le général N’diaga Dieng était spécialement diligenté pour s’occuper du cas du leader de l’IRA. Il avait alors diligenté dans la nuit du 10 au 11 mars un détachement de gendarme dans le village de Birame ould Abeid afin d’intimider les populations et de réunir des charges sur faux témoignages des pauvres villageois Que veulent le général Aziz et son escadron de ministre de l’intérieur et directeur des libertés publiques, au militant des droits de l’homme, Birame ould Dah ould Abeid ?
L’épopée de leurs basses œuvres se calquent aux moindres activités du président de l’IRA dont les sorties en Mauritanie et à l’étranger sont toujours médiatisées et cinglantes contre le système esclavagiste et discriminatoire des dix pour cent d’arabo-berbères à l’encontre du reste des populations noires. La conférence sur "L'esclavage en terre d'Islam : pourquoi les maîtres mauritaniens n'affranchissent pas leurs esclaves?", organisée au Centre d'accueil de la presse étrangère (CAPE) le 17 février 2009 à Paris, n’en est pas la moindre.
Notons aussi la conférence de presse à Nouakchott le 3 novembre 2009 donnée par Mme Gulnara Shahinian, rapporteure spéciale des Nations unies sur l'esclavage indubitable qui règne en Mauritanie. Les autorités accusaient M. Biram Ould Dah Ould Abeid de fournir des informations à Mme Shahinian sur les pratiques esclavagiste des maures.
L’interrogatoire d’aujourd’hui reprend les remontrances du ministre de l’intérieur à l’encontre de Birame oul Dah ould Abeid, notamment : "un mandat du président de la République pour traiter son cas , injonction de "cesser toute déclaration ou activité de lutte contre l'esclavage" , le maintien de la démission de ses fonctions le 1er avril 2010 par le nouveau Président de la Commission nationale des droits de l’Homme M .Ba Mariam Koita.
L’Organisation Contre les Violations des Droits Humains s’insurge et met en garde les autorités publiques contre l’atteinte au droit de militantisme de M. Birame en faveur des populations opprimées dans l’esclavage et l’apartheid. L’OCVIH rappelle sa position à travers tous ces communiqués : à savoir que la démarche du pouvoir en place met en péril l’équilibre social du pays. Les conséquences d’une atteinte à la personne de Birame sont inestimables.
Toute la légitimité de la lutte contre la persistance de l’esclavage se retrouve posée de plus belle. L’OCVIDH considère que le pouvoir en place dépasse la ligne rouge dans les tracasseries subies par Birame ould Dah ould Abeid : depuis le 8 février dans le cadre du préparatif du voyage du président de l’IRA à Genève lors du festival du Festival international du film et des droits de l’homme, du 5 au 14 mai 2010, où il devait présenter le documentaire chasseur d’esclaves, réalisé par SOS-Esclave. La dénonciation de la caution de l’esclavage et l’apartheid cautionnée par l’Etat Mauritanien.
Avant même son retour, l’institution de la Commission Nationale des Droits de l’Homme a été bouleversée par le général-président qui en confie la direction à un de ses roches les moins aptes à en défendre.
L’OCVIDH condamne la taxation d’illégalité de l’IRA par le directeur général adjoint des libertés Publiques Mr Mohamed Ould Mahmoud Ould Salah ainsi que l’interdiction formelle de toute conférence et activité du mouvement abolitionniste.
L’OCVIDH, considère ses décisions discriminatoires vis-à-vis d’un mouvement unilatéralement stigmatisé et non conformes à l’esprit d’un état de droit et de justice.
Elle demande à ce que le harcèlement et les intimidations cessent au plus vite, facilitant le dialogue et la paix civile dans notre pays.
Pour le bureau Exécutif de l’OCVIDH
Que veut le directeur général adjoint des libertés publiques, Mohamed Mahmoud ould Mohamed Saleh, au président de l’IRA-Mauritanie. Il vient de le soumettre à interrogatoire dans ses locaux. Le Ministère de l’Intérieur Mohamed ould Boïlil qui a sous sa tutelle les services des libertés publiques n’ose plus confronter ouvertement le mouvement de libération des esclaves ? Il se cache donc derrière son subalterne. On se rappelle que le général N’diaga Dieng était spécialement diligenté pour s’occuper du cas du leader de l’IRA. Il avait alors diligenté dans la nuit du 10 au 11 mars un détachement de gendarme dans le village de Birame ould Abeid afin d’intimider les populations et de réunir des charges sur faux témoignages des pauvres villageois Que veulent le général Aziz et son escadron de ministre de l’intérieur et directeur des libertés publiques, au militant des droits de l’homme, Birame ould Dah ould Abeid ?
L’épopée de leurs basses œuvres se calquent aux moindres activités du président de l’IRA dont les sorties en Mauritanie et à l’étranger sont toujours médiatisées et cinglantes contre le système esclavagiste et discriminatoire des dix pour cent d’arabo-berbères à l’encontre du reste des populations noires. La conférence sur "L'esclavage en terre d'Islam : pourquoi les maîtres mauritaniens n'affranchissent pas leurs esclaves?", organisée au Centre d'accueil de la presse étrangère (CAPE) le 17 février 2009 à Paris, n’en est pas la moindre.
Notons aussi la conférence de presse à Nouakchott le 3 novembre 2009 donnée par Mme Gulnara Shahinian, rapporteure spéciale des Nations unies sur l'esclavage indubitable qui règne en Mauritanie. Les autorités accusaient M. Biram Ould Dah Ould Abeid de fournir des informations à Mme Shahinian sur les pratiques esclavagiste des maures.
L’interrogatoire d’aujourd’hui reprend les remontrances du ministre de l’intérieur à l’encontre de Birame oul Dah ould Abeid, notamment : "un mandat du président de la République pour traiter son cas , injonction de "cesser toute déclaration ou activité de lutte contre l'esclavage" , le maintien de la démission de ses fonctions le 1er avril 2010 par le nouveau Président de la Commission nationale des droits de l’Homme M .Ba Mariam Koita.
L’Organisation Contre les Violations des Droits Humains s’insurge et met en garde les autorités publiques contre l’atteinte au droit de militantisme de M. Birame en faveur des populations opprimées dans l’esclavage et l’apartheid. L’OCVIH rappelle sa position à travers tous ces communiqués : à savoir que la démarche du pouvoir en place met en péril l’équilibre social du pays. Les conséquences d’une atteinte à la personne de Birame sont inestimables.
Toute la légitimité de la lutte contre la persistance de l’esclavage se retrouve posée de plus belle. L’OCVIDH considère que le pouvoir en place dépasse la ligne rouge dans les tracasseries subies par Birame ould Dah ould Abeid : depuis le 8 février dans le cadre du préparatif du voyage du président de l’IRA à Genève lors du festival du Festival international du film et des droits de l’homme, du 5 au 14 mai 2010, où il devait présenter le documentaire chasseur d’esclaves, réalisé par SOS-Esclave. La dénonciation de la caution de l’esclavage et l’apartheid cautionnée par l’Etat Mauritanien
Avant même son retour, l’institution de la Commission Nationale des Droits de l’Homme a été bouleversée par le général-président qui en confie la direction à un de ses roches les moins aptes à en défendre.
L’OCVIDH condamne la taxation d’illégalité de l’IRA par le directeur général adjoint des libertés Publiques Mr Mohamed Ould Mahmoud Ould Salah ainsi que l’interdiction formelle de toute conférence et activité du mouvement abolitionniste.
L’OCVIDH, considère ses décisions discriminatoires vis-à-vis d’un mouvement unilatéralement stigmatisé et non conformes à l’esprit d’un état de droit et de justice.
Elle demande à ce que le harcèlement et les intimidations cessent au plus vite, facilitant le dialogue et la paix civile dans notre pays.
Pour le bureau Exécutif de l’OCVIDH
Porte Parole Fall Moctar.
L’épopée de leurs basses œuvres se calquent aux moindres activités du président de l’IRA dont les sorties en Mauritanie et à l’étranger sont toujours médiatisées et cinglantes contre le système esclavagiste et discriminatoire des dix pour cent d’arabo-berbères à l’encontre du reste des populations noires. La conférence sur "L'esclavage en terre d'Islam : pourquoi les maîtres mauritaniens n'affranchissent pas leurs esclaves?", organisée au Centre d'accueil de la presse étrangère (CAPE) le 17 février 2009 à Paris, n’en est pas la moindre.
Notons aussi la conférence de presse à Nouakchott le 3 novembre 2009 donnée par Mme Gulnara Shahinian, rapporteure spéciale des Nations unies sur l'esclavage indubitable qui règne en Mauritanie. Les autorités accusaient M. Biram Ould Dah Ould Abeid de fournir des informations à Mme Shahinian sur les pratiques esclavagiste des maures.
L’interrogatoire d’aujourd’hui reprend les remontrances du ministre de l’intérieur à l’encontre de Birame oul Dah ould Abeid, notamment : "un mandat du président de la République pour traiter son cas , injonction de "cesser toute déclaration ou activité de lutte contre l'esclavage" , le maintien de la démission de ses fonctions le 1er avril 2010 par le nouveau Président de la Commission nationale des droits de l’Homme M .Ba Mariam Koita.
L’Organisation Contre les Violations des Droits Humains s’insurge et met en garde les autorités publiques contre l’atteinte au droit de militantisme de M. Birame en faveur des populations opprimées dans l’esclavage et l’apartheid. L’OCVIH rappelle sa position à travers tous ces communiqués : à savoir que la démarche du pouvoir en place met en péril l’équilibre social du pays. Les conséquences d’une atteinte à la personne de Birame sont inestimables.
Toute la légitimité de la lutte contre la persistance de l’esclavage se retrouve posée de plus belle. L’OCVIDH considère que le pouvoir en place dépasse la ligne rouge dans les tracasseries subies par Birame ould Dah ould Abeid : depuis le 8 février dans le cadre du préparatif du voyage du président de l’IRA à Genève lors du festival du Festival international du film et des droits de l’homme, du 5 au 14 mai 2010, où il devait présenter le documentaire chasseur d’esclaves, réalisé par SOS-Esclave. La dénonciation de la caution de l’esclavage et l’apartheid cautionnée par l’Etat Mauritanien.
Avant même son retour, l’institution de la Commission Nationale des Droits de l’Homme a été bouleversée par le général-président qui en confie la direction à un de ses roches les moins aptes à en défendre.
L’OCVIDH condamne la taxation d’illégalité de l’IRA par le directeur général adjoint des libertés Publiques Mr Mohamed Ould Mahmoud Ould Salah ainsi que l’interdiction formelle de toute conférence et activité du mouvement abolitionniste.
L’OCVIDH, considère ses décisions discriminatoires vis-à-vis d’un mouvement unilatéralement stigmatisé et non conformes à l’esprit d’un état de droit et de justice.
Elle demande à ce que le harcèlement et les intimidations cessent au plus vite, facilitant le dialogue et la paix civile dans notre pays.
Pour le bureau Exécutif de l’OCVIDH
Que veut le directeur général adjoint des libertés publiques, Mohamed Mahmoud ould Mohamed Saleh, au président de l’IRA-Mauritanie. Il vient de le soumettre à interrogatoire dans ses locaux. Le Ministère de l’Intérieur Mohamed ould Boïlil qui a sous sa tutelle les services des libertés publiques n’ose plus confronter ouvertement le mouvement de libération des esclaves ? Il se cache donc derrière son subalterne. On se rappelle que le général N’diaga Dieng était spécialement diligenté pour s’occuper du cas du leader de l’IRA. Il avait alors diligenté dans la nuit du 10 au 11 mars un détachement de gendarme dans le village de Birame ould Abeid afin d’intimider les populations et de réunir des charges sur faux témoignages des pauvres villageois Que veulent le général Aziz et son escadron de ministre de l’intérieur et directeur des libertés publiques, au militant des droits de l’homme, Birame ould Dah ould Abeid ?
L’épopée de leurs basses œuvres se calquent aux moindres activités du président de l’IRA dont les sorties en Mauritanie et à l’étranger sont toujours médiatisées et cinglantes contre le système esclavagiste et discriminatoire des dix pour cent d’arabo-berbères à l’encontre du reste des populations noires. La conférence sur "L'esclavage en terre d'Islam : pourquoi les maîtres mauritaniens n'affranchissent pas leurs esclaves?", organisée au Centre d'accueil de la presse étrangère (CAPE) le 17 février 2009 à Paris, n’en est pas la moindre.
Notons aussi la conférence de presse à Nouakchott le 3 novembre 2009 donnée par Mme Gulnara Shahinian, rapporteure spéciale des Nations unies sur l'esclavage indubitable qui règne en Mauritanie. Les autorités accusaient M. Biram Ould Dah Ould Abeid de fournir des informations à Mme Shahinian sur les pratiques esclavagiste des maures.
L’interrogatoire d’aujourd’hui reprend les remontrances du ministre de l’intérieur à l’encontre de Birame oul Dah ould Abeid, notamment : "un mandat du président de la République pour traiter son cas , injonction de "cesser toute déclaration ou activité de lutte contre l'esclavage" , le maintien de la démission de ses fonctions le 1er avril 2010 par le nouveau Président de la Commission nationale des droits de l’Homme M .Ba Mariam Koita.
L’Organisation Contre les Violations des Droits Humains s’insurge et met en garde les autorités publiques contre l’atteinte au droit de militantisme de M. Birame en faveur des populations opprimées dans l’esclavage et l’apartheid. L’OCVIH rappelle sa position à travers tous ces communiqués : à savoir que la démarche du pouvoir en place met en péril l’équilibre social du pays. Les conséquences d’une atteinte à la personne de Birame sont inestimables.
Toute la légitimité de la lutte contre la persistance de l’esclavage se retrouve posée de plus belle. L’OCVIDH considère que le pouvoir en place dépasse la ligne rouge dans les tracasseries subies par Birame ould Dah ould Abeid : depuis le 8 février dans le cadre du préparatif du voyage du président de l’IRA à Genève lors du festival du Festival international du film et des droits de l’homme, du 5 au 14 mai 2010, où il devait présenter le documentaire chasseur d’esclaves, réalisé par SOS-Esclave. La dénonciation de la caution de l’esclavage et l’apartheid cautionnée par l’Etat Mauritanien
Avant même son retour, l’institution de la Commission Nationale des Droits de l’Homme a été bouleversée par le général-président qui en confie la direction à un de ses roches les moins aptes à en défendre.
L’OCVIDH condamne la taxation d’illégalité de l’IRA par le directeur général adjoint des libertés Publiques Mr Mohamed Ould Mahmoud Ould Salah ainsi que l’interdiction formelle de toute conférence et activité du mouvement abolitionniste.
L’OCVIDH, considère ses décisions discriminatoires vis-à-vis d’un mouvement unilatéralement stigmatisé et non conformes à l’esprit d’un état de droit et de justice.
Elle demande à ce que le harcèlement et les intimidations cessent au plus vite, facilitant le dialogue et la paix civile dans notre pays.
Pour le bureau Exécutif de l’OCVIDH
Porte Parole Fall Moctar.
Actualités













