
Le projet de dialogue politique entre la majorité présidentielle et les partis de l’opposition, s’éloigne de plus en plus. Dommage, puisque au stade où se trouve le pays, le dialogue est nécessaire.
La Mauritanie, pays de contradictions par excellence, ne peut pas se construire sans cette discussion et ce débat que la classe politique ne veut pas engager. Les questions de survie du peuple, de la pauvreté, du mécanisme de redistribution du pouvoir et des richesses entre les fils de ce peuple, les règles d’équité et d’égalité entre citoyens qui n’ont jamais été une réalité dans ce pays et la réhabilitation du service public sont autant de questions et de problématiques qu’il fallait débattre et discuter. S’y ajoutent naturellement les épineuses questions qui font peser d’énormes menaces sur notre cohésion et notre unité nationale, à savoir les questions de l’esclavage et des injustices criantes qui se pratiquent encore à ciel ouvert dans ce pays.
Nos hommes politiques, hypocrites par excellence, sont les alliés objectifs d’un Etat qui ne tolère point le progrès. Les clichés désuets d’un Etat qui doit rester toujours fort, mais jamais juste, sont entretenus par une classe politique avide de pouvoir et de prébendes.
L’hypocrisie de notre classe politique s’exprime aussi dans le comportement de cette classe face aux gouvernants du moment. A l’exception notable de certains leaders politiques tel Ahmed Ould Daddah qui a décidé de marquer sa réserve envers le gouvernement, ils sont nombreux les acteurs qui sont incapables d’adresser la moindre critique au gouvernement, lui donnant ainsi carte blanche pour agir à sa guise. Conséquence, les questions sensibles qu’elle devait résoudre ont été « oubliées » ou « noyées ». Suivez notre regard... Et ceci a permis au système déchu de se pérenniser et de tenter même de renaître.
Nous ne le dirons jamais assez, le malheur de la Mauritanie est véhiculé par ses malhonnêtes « commis » qui se muent, dès leur deuxième poste, en pseudo hommes d’Etat que le régime déchu a créés à la pelée. C’est par le mensonge et l’argent sale qu’ils sont arrivés à des positions souvent assez élevées. Et c’est par le mensonge et l’argent sale qu’ils veulent s’accrocher aux crochets de notre avenir. Malheureuse Mauritanie prise en otage…
MOMS
Source: http://lauthentic.info
La Mauritanie, pays de contradictions par excellence, ne peut pas se construire sans cette discussion et ce débat que la classe politique ne veut pas engager. Les questions de survie du peuple, de la pauvreté, du mécanisme de redistribution du pouvoir et des richesses entre les fils de ce peuple, les règles d’équité et d’égalité entre citoyens qui n’ont jamais été une réalité dans ce pays et la réhabilitation du service public sont autant de questions et de problématiques qu’il fallait débattre et discuter. S’y ajoutent naturellement les épineuses questions qui font peser d’énormes menaces sur notre cohésion et notre unité nationale, à savoir les questions de l’esclavage et des injustices criantes qui se pratiquent encore à ciel ouvert dans ce pays.
Nos hommes politiques, hypocrites par excellence, sont les alliés objectifs d’un Etat qui ne tolère point le progrès. Les clichés désuets d’un Etat qui doit rester toujours fort, mais jamais juste, sont entretenus par une classe politique avide de pouvoir et de prébendes.
L’hypocrisie de notre classe politique s’exprime aussi dans le comportement de cette classe face aux gouvernants du moment. A l’exception notable de certains leaders politiques tel Ahmed Ould Daddah qui a décidé de marquer sa réserve envers le gouvernement, ils sont nombreux les acteurs qui sont incapables d’adresser la moindre critique au gouvernement, lui donnant ainsi carte blanche pour agir à sa guise. Conséquence, les questions sensibles qu’elle devait résoudre ont été « oubliées » ou « noyées ». Suivez notre regard... Et ceci a permis au système déchu de se pérenniser et de tenter même de renaître.
Nous ne le dirons jamais assez, le malheur de la Mauritanie est véhiculé par ses malhonnêtes « commis » qui se muent, dès leur deuxième poste, en pseudo hommes d’Etat que le régime déchu a créés à la pelée. C’est par le mensonge et l’argent sale qu’ils sont arrivés à des positions souvent assez élevées. Et c’est par le mensonge et l’argent sale qu’ils veulent s’accrocher aux crochets de notre avenir. Malheureuse Mauritanie prise en otage…
MOMS
Source: http://lauthentic.info