
Depuis son indépendance, la Mauritanie est en perpétuelle quête de son unité. Le chemin a été difficile et jalonné d’embûches de toutes sortes : exclusions, intolérances, mépris, violences…
Le risque était grand de voir cette belle terre ; faite de rencontres et de croisements entre différents peuples sombrer dans le traquenard tendu par des extrémistes de tout bord. Non contents de leur sale besogne, celui de dresser des murs imaginaires entre les natifs d’une même nation dont les honteuses forteresses s’appellent la race, la tribu, la couleur, l’esclave, le noble…, les marchands de dogmes nuisibles et dépassés tentent encore aujourd’hui d’exacerber les clivages pour dresser les uns contre les autres.
Faits gravissimes dans une Mauritanie nouvelle qui tente de faire de l’égalité entre tous les citoyens une réalité indéniable.
Dans ce nouveau pays que veut construire avec opiniâtré et droiture le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, il n’y a ni blancs ni noirs, ni castes ni catégories. Il n’ y existe désormais que le citoyen mauritanien avec tous ses droits, protégé par la loi de son pays auquel il a le devoir de servir et de défendre contre les ennemis de toutes nature.
De tout temps, des citoyens mal intentionnés et manipulés par des lobby juifs extrémistes qui veulent faire main basse sur notre pays ont cherché à détruire notre « unité ». Grâce à Allah, Le Tout Puissant, ils ont toujours échoué face à notre détermination de rester unis autour des valeurs dont nous avons en partage depuis des millénaires.
Aujourd’hui encore, tous les patriotes doivent se dresser comme un seul homme pour barrer la route aux extrémismes d’où qu’ils viennent pour construire une Mauritanie dont chacun sera fier d’appartenir.
C’est la voie limpide qu’il sied de suivre pour échapper aux schémas obscurs de ceux qui ne courent que pour leurs propres intérêts et qui s’en curent de la paix sociale et du développement harmonieux dans le pays.
Abasourdis par la nouvelle tournure dans la conduite des affaires publiques qui leur coupe l’herbe sous les pieds, ils cherchent à faire diversion en remettant au goût du jour de lugubres plans pour tenter de reprendre la main.
Le risque était grand de voir cette belle terre ; faite de rencontres et de croisements entre différents peuples sombrer dans le traquenard tendu par des extrémistes de tout bord. Non contents de leur sale besogne, celui de dresser des murs imaginaires entre les natifs d’une même nation dont les honteuses forteresses s’appellent la race, la tribu, la couleur, l’esclave, le noble…, les marchands de dogmes nuisibles et dépassés tentent encore aujourd’hui d’exacerber les clivages pour dresser les uns contre les autres.
Faits gravissimes dans une Mauritanie nouvelle qui tente de faire de l’égalité entre tous les citoyens une réalité indéniable.
Dans ce nouveau pays que veut construire avec opiniâtré et droiture le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, il n’y a ni blancs ni noirs, ni castes ni catégories. Il n’ y existe désormais que le citoyen mauritanien avec tous ses droits, protégé par la loi de son pays auquel il a le devoir de servir et de défendre contre les ennemis de toutes nature.
De tout temps, des citoyens mal intentionnés et manipulés par des lobby juifs extrémistes qui veulent faire main basse sur notre pays ont cherché à détruire notre « unité ». Grâce à Allah, Le Tout Puissant, ils ont toujours échoué face à notre détermination de rester unis autour des valeurs dont nous avons en partage depuis des millénaires.
Aujourd’hui encore, tous les patriotes doivent se dresser comme un seul homme pour barrer la route aux extrémismes d’où qu’ils viennent pour construire une Mauritanie dont chacun sera fier d’appartenir.
C’est la voie limpide qu’il sied de suivre pour échapper aux schémas obscurs de ceux qui ne courent que pour leurs propres intérêts et qui s’en curent de la paix sociale et du développement harmonieux dans le pays.
Abasourdis par la nouvelle tournure dans la conduite des affaires publiques qui leur coupe l’herbe sous les pieds, ils cherchent à faire diversion en remettant au goût du jour de lugubres plans pour tenter de reprendre la main.