La police chargée de répression des crimes économiques a arrêté le Directeur de Mixta Mauritanie Zeidane Ould Soueid Ahmed après son refus de passer service à Mohamed Salem Ould Vilaly nommé à sa place de la part des partenaires Espagnols.
Selon les proches de Ould Soueid Ahmed, celui-ci ne peut pas être limogé parce qu’il jouissait d’un mandat de 5 ans révolus.
Les amis de Zeidane juge encore son refus de passer service par l’absence sur le terrain des partenaires Espagnols qui devrait être présents pour régler un certain nombre de problèmes dont le retard du salaire du personnel et le loyer de la propre maison du directeur.
Toujours d’après les proches de Zeidane, le problème a débuté depuis que l’homme d’affaires Hamadi Ould Bouchaya a pris contact avec les partenaires Espagnols pour leur proposer une rencontre avec le Président Ould Aboul Aziz.
Suite à cette rencontre de grands espaces urbains ont été cédé à la société contre d’importantes sommes d’agent au profit de Ould Boucharia, en plus de la possibilité pour ce dernier de nommer un directeur de son choix à la Tête de Mixta Mauritanie.
Les proches de Zeidane Ould Soueid Ahmed affirment que celui-ci a envoyé une lettre aux partenaires Espagnols demandant le transfert de la somme en question au compte personnel de Ould Bouchraya.
Selon l’entourage de Zeidane, un accord a été conclu après la rencontre réunissant une délégation des partenaires Espagnols et le Président Aziz.
Le conseil des Ministres du 18 mars 2010 a accordé l’espace urbain réservé au projet d’habitats espagnols.
Les amis de Zeidane accusent des milieux de la police et de la justice de complicité avec les détracteurs de Zeidane.
Ces derniers considèrent que les partenaires espagnols ne sont pas satisfaits, tout simplement de la gestion de Zeidane.
A titre d’exemple, ils citent « des bâtiments vendus à des prix fantaisistes ».
Selon eux, le départ de Zeidane est exigé par l’ambassade d’Espagne et accepté par les autorités mauritaniennes en vue de sauver les investissements menés par la société mère en Mauritanie dont 7 millions $ en vue de la construction de 200 logements avant la fin 2010.
Source: Taqadoumy
Selon les proches de Ould Soueid Ahmed, celui-ci ne peut pas être limogé parce qu’il jouissait d’un mandat de 5 ans révolus.
Les amis de Zeidane juge encore son refus de passer service par l’absence sur le terrain des partenaires Espagnols qui devrait être présents pour régler un certain nombre de problèmes dont le retard du salaire du personnel et le loyer de la propre maison du directeur.
Toujours d’après les proches de Zeidane, le problème a débuté depuis que l’homme d’affaires Hamadi Ould Bouchaya a pris contact avec les partenaires Espagnols pour leur proposer une rencontre avec le Président Ould Aboul Aziz.
Suite à cette rencontre de grands espaces urbains ont été cédé à la société contre d’importantes sommes d’agent au profit de Ould Boucharia, en plus de la possibilité pour ce dernier de nommer un directeur de son choix à la Tête de Mixta Mauritanie.
Les proches de Zeidane Ould Soueid Ahmed affirment que celui-ci a envoyé une lettre aux partenaires Espagnols demandant le transfert de la somme en question au compte personnel de Ould Bouchraya.
Selon l’entourage de Zeidane, un accord a été conclu après la rencontre réunissant une délégation des partenaires Espagnols et le Président Aziz.
Le conseil des Ministres du 18 mars 2010 a accordé l’espace urbain réservé au projet d’habitats espagnols.
Les amis de Zeidane accusent des milieux de la police et de la justice de complicité avec les détracteurs de Zeidane.
Ces derniers considèrent que les partenaires espagnols ne sont pas satisfaits, tout simplement de la gestion de Zeidane.
A titre d’exemple, ils citent « des bâtiments vendus à des prix fantaisistes ».
Selon eux, le départ de Zeidane est exigé par l’ambassade d’Espagne et accepté par les autorités mauritaniennes en vue de sauver les investissements menés par la société mère en Mauritanie dont 7 millions $ en vue de la construction de 200 logements avant la fin 2010.
Source: Taqadoumy
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