Des membres du gouvernement réclament une révision de la Constitution pour permettre au président de briguer un troisième mandat. Tollé au sein de l'opposition et silence de l'intéressé.
La classe politique mauritanienne est en émoi. Le ministre de la Justice, Me Brahim Ould Daddah, a préconisé début avril une révision de la Constitution pour permettre au président Mohamed Ould Abdelaziz de briguer un troisième mandat de cinq ans.
Le ministre de l’Économie et des Finances et le porte-parole du gouvernement lui ont emboîté le pas, suscitant la colère de l’opposition, notamment celle du Forum national pour la démocratie et l’unité (FNDU), qui a décidé de rompre « tout contact avec le pouvoir tant que des ministres du gouvernement ne retirent pas leurs propos relatifs à une modification de la Constitution pour accorder un troisième mandat au président ».
Source: http://www.jeuneafrique.com
La classe politique mauritanienne est en émoi. Le ministre de la Justice, Me Brahim Ould Daddah, a préconisé début avril une révision de la Constitution pour permettre au président Mohamed Ould Abdelaziz de briguer un troisième mandat de cinq ans.
Le ministre de l’Économie et des Finances et le porte-parole du gouvernement lui ont emboîté le pas, suscitant la colère de l’opposition, notamment celle du Forum national pour la démocratie et l’unité (FNDU), qui a décidé de rompre « tout contact avec le pouvoir tant que des ministres du gouvernement ne retirent pas leurs propos relatifs à une modification de la Constitution pour accorder un troisième mandat au président ».
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