je ne peux rester insensible à cette souffrance grandiose de mon peuple, pillé, abusé, militarisé, divisé, discriminé, marginalisé et scandalisé par des feuilletons de drogue et la cherté de la vie.
Comme je ne peux rester complice des coups bas contre la liberté d'expression et le plan machiavélique visant à réduire notre presse à la voix d'un maitre unique pour les beaux yeux d'un quelconque roi. Des milliards réclamés aux mendiants de plumes
Rien n'a vraiment changé dans ce pays qui garde le même visage et les mêmes méthodes mesquines qui violent toute éthique et toute morale objectif. Le peuple sans repère se cherche toujours entre les mains de politiciens aux ambitions individualistes alimentées par des rivalités claniques, tribales, ethniques et raciales.
La même opposition de position fantoche et fantaisiste nous soule avec les mêmes slogans vides et sans effets. Une société civile partisane de positionnement politique. Une jeunesse en déroute sans espoir majeur. Une éducation en abdication perpétuelle et lamentable.
Des patoches de chiffres qui décrivent une évolution et un développement sans équivoque. La même constance dans le pillage de nos ressources et une gabegie à outrance.
L'espoir de voir le pays de notre rêve s'éloigne et on reste dans la constance de ce discours de la rencontre jeune qui retraçait la volonté et les vœux pieux d'un enfant défiant la force des choses pour redonner l'espoir à tout un peuple. Un peuple malmené par un silence complice d'un homme de plume ayant préféré le silence aux mots est comparable à un roi sans armé. Rien n'a vraiment changé. Rien de rien.
C'est pourquoi nous devons dire au président, par devoir de vérité, le peuple souffre de cette manière irresponsable et irrespectueuse avec laquelle on mène notre bateau contre les journalistes, les « Droits de l’hommistes » , les noirs et les hommes libres.
Cissé housseynou Birama
L’avocat du peuple
Source : Cissé Housseynou
Comme je ne peux rester complice des coups bas contre la liberté d'expression et le plan machiavélique visant à réduire notre presse à la voix d'un maitre unique pour les beaux yeux d'un quelconque roi. Des milliards réclamés aux mendiants de plumes
Rien n'a vraiment changé dans ce pays qui garde le même visage et les mêmes méthodes mesquines qui violent toute éthique et toute morale objectif. Le peuple sans repère se cherche toujours entre les mains de politiciens aux ambitions individualistes alimentées par des rivalités claniques, tribales, ethniques et raciales.
La même opposition de position fantoche et fantaisiste nous soule avec les mêmes slogans vides et sans effets. Une société civile partisane de positionnement politique. Une jeunesse en déroute sans espoir majeur. Une éducation en abdication perpétuelle et lamentable.
Des patoches de chiffres qui décrivent une évolution et un développement sans équivoque. La même constance dans le pillage de nos ressources et une gabegie à outrance.
L'espoir de voir le pays de notre rêve s'éloigne et on reste dans la constance de ce discours de la rencontre jeune qui retraçait la volonté et les vœux pieux d'un enfant défiant la force des choses pour redonner l'espoir à tout un peuple. Un peuple malmené par un silence complice d'un homme de plume ayant préféré le silence aux mots est comparable à un roi sans armé. Rien n'a vraiment changé. Rien de rien.
C'est pourquoi nous devons dire au président, par devoir de vérité, le peuple souffre de cette manière irresponsable et irrespectueuse avec laquelle on mène notre bateau contre les journalistes, les « Droits de l’hommistes » , les noirs et les hommes libres.
Cissé housseynou Birama
L’avocat du peuple
Source : Cissé Housseynou
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