Le président de l'Union Pour la République (UPR), le parti au pouvoir, Me Sidi Mohamed Ould Maham s’est moqué de la falsification de la volonté de l’autorité et son accusation de pressions pour aller vers un dialogue ouvrant la voie à l’amendement de la Constitution, afin d’accorder au Président Mohamed Ould Abdel Aziz un troisième mandat.
"Si nous voulons un troisième quinquennat pour le Président, allons-nous le demander à l’opposition" s’est interrogé Me Maham dans une interview diffusée sur les écrans de la chaîne TV privée El Wataniya.
"L’opposition est une minorité au sein du pays et ne détient pas un mandat pour l’accorder ou non au Président", a-t-il dit. « Le dialogue est un objectif en soi. Nous avons besoin de concertations politiques, d’une méthodologie qui représente les négociations avec tous les acteurs, abstraction faite de la conduite de certains, de leur reniement des résultats des pourparlers et du faux-fuyant à l’appel au dialogue » a affirmé le Président du parti au pouvoir.
« Les pleurnichards de l'accord de la capitale sénégalaise Dakar sont les premiers à le refuser, quand ils ont accepté de s'asseoir à la table des négociations, après la détermination des trois parties de la crise dans la Déclaration de Paris, puis se sont partagés le pouvoir de manière à penser que c’est suffisant pour lancer leur candidat à l’élection présidentielle, avec une mainmise sur la gestion entière du processus électoral en occupant les départements ministériels concernés par le dossier électoral à l’instar de l’intérieur, des finances, de l’information et de la défense » a-t-il ajouté.
« Il faut obligatoirement un perdant dans ces présidentielles. Le peuple a préféré accorder sa confiance au candidat Mohamed Ould Abdel Aziz, dés le premier tour et d’exclure de manière expéditive les autres parties » a-t-il dit.
Traduit de l’Arabe par Cridem
Source : Zahraa (Mauritanie)
"Si nous voulons un troisième quinquennat pour le Président, allons-nous le demander à l’opposition" s’est interrogé Me Maham dans une interview diffusée sur les écrans de la chaîne TV privée El Wataniya.
"L’opposition est une minorité au sein du pays et ne détient pas un mandat pour l’accorder ou non au Président", a-t-il dit. « Le dialogue est un objectif en soi. Nous avons besoin de concertations politiques, d’une méthodologie qui représente les négociations avec tous les acteurs, abstraction faite de la conduite de certains, de leur reniement des résultats des pourparlers et du faux-fuyant à l’appel au dialogue » a affirmé le Président du parti au pouvoir.
« Les pleurnichards de l'accord de la capitale sénégalaise Dakar sont les premiers à le refuser, quand ils ont accepté de s'asseoir à la table des négociations, après la détermination des trois parties de la crise dans la Déclaration de Paris, puis se sont partagés le pouvoir de manière à penser que c’est suffisant pour lancer leur candidat à l’élection présidentielle, avec une mainmise sur la gestion entière du processus électoral en occupant les départements ministériels concernés par le dossier électoral à l’instar de l’intérieur, des finances, de l’information et de la défense » a-t-il ajouté.
« Il faut obligatoirement un perdant dans ces présidentielles. Le peuple a préféré accorder sa confiance au candidat Mohamed Ould Abdel Aziz, dés le premier tour et d’exclure de manière expéditive les autres parties » a-t-il dit.
Traduit de l’Arabe par Cridem
Source : Zahraa (Mauritanie)
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