le sénateur de M’Bout, Mr Youssouf Sylla, le combat continue entre le président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz et les sénateurs mauritaniens.
Il a déclaré sur les ondes de Rfi, que « l’arrestation d’Ould Ghadda et la mise sous contrôle judiciaire de quelques douze sénateurs n’est autre qu’un acharnement politique orchestré par Ould Abdel Aziz ».
Aujourd’hui, dira-t-il, « la Mauritanie est divisée en deux Mauritanie (s) : l’une qui préserve la constitution, le sénat, le drapeau et l’hymne nationaux et l’autre créée par Ould Abdel Aziz qui a son nouveau drapeau avec ses deux bandeaux rouges et son nouvel hymne national ».
Le sénateur Sylla, un opposant de premières heures a affirmé que ses camarades sont poursuivis par le pouvoir parce qu’ils ont osé dire non aux amendements constitutionnels en mars dernier.
« Ni le référendum du cinq août dernier ni ses résultats ne sont consensuels », a-t-il martelé.
Il faut rappeler que le sénat mauritanien a été dissout par les résultats du référendum dernier. Chose curieuse,ce fait est rejeté par une importante partie de la classe politique mauritanienne notamment la coalition de l'opposition démocratique,constate-t-on.
En plus, notons que les sénateurs sont rejoins par le collectif des avocats qui les supportent. Ces derniers dont Ould Ebetty et Bouhoubeyni, qualifient les mesures judiciaires prises dernièrement d’acharnement.
Alors disent-ils, la bataille judiciaire entre le pouvoir et les sénateurs continue !
Sourcehttp://tawary.com
Il a déclaré sur les ondes de Rfi, que « l’arrestation d’Ould Ghadda et la mise sous contrôle judiciaire de quelques douze sénateurs n’est autre qu’un acharnement politique orchestré par Ould Abdel Aziz ».
Aujourd’hui, dira-t-il, « la Mauritanie est divisée en deux Mauritanie (s) : l’une qui préserve la constitution, le sénat, le drapeau et l’hymne nationaux et l’autre créée par Ould Abdel Aziz qui a son nouveau drapeau avec ses deux bandeaux rouges et son nouvel hymne national ».
Le sénateur Sylla, un opposant de premières heures a affirmé que ses camarades sont poursuivis par le pouvoir parce qu’ils ont osé dire non aux amendements constitutionnels en mars dernier.
« Ni le référendum du cinq août dernier ni ses résultats ne sont consensuels », a-t-il martelé.
Il faut rappeler que le sénat mauritanien a été dissout par les résultats du référendum dernier. Chose curieuse,ce fait est rejeté par une importante partie de la classe politique mauritanienne notamment la coalition de l'opposition démocratique,constate-t-on.
En plus, notons que les sénateurs sont rejoins par le collectif des avocats qui les supportent. Ces derniers dont Ould Ebetty et Bouhoubeyni, qualifient les mesures judiciaires prises dernièrement d’acharnement.
Alors disent-ils, la bataille judiciaire entre le pouvoir et les sénateurs continue !
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