Si, parce que je suis venu marquer, ma solidarité avec ses pauvres citoyens mauritaniens de Dar El Barka, à qui l'état tente, de manière grossière, de déposséder de leurs terres nourricières et ancestrales, leur seul et unique, moyen de subsistance, Mohamed ould Abdel Aziz et ses sbires, comme, le faisait, Pether Botha, durant l'apartheid, en Afrique du Sud, me punit de bannissement ou d'éloignement de Dar El Barka, en me parquant dans le bureau du commissaire de police, de Boghé, durant le temps que dure son séjour, dar el barkois, je leur dis, à eux tous, MERCI.
MERCI, parce que vous me prouvez, entre autres, que je défends une cause, juste et bonne.
MERCI, parce que, au lieu de les vider, ils ont plutôt rechargé mes batteries, pour me pousser à me rendre instamment et directement du commissariat de police de Boghé, au commissariat de police de Tékane, où serait détenues les femmes de THIAMBENE. Ces femmes de THIAMBENE comme celles de NDER, pour qui connaît la bravoure des femmes wolofs, représenteraient pour monsieur Balas ses filles, sœurs, et/ou, épouses; seraient également prêtés à s'immoler pour défendre leur dignité et sauver leur honneur, pour dire NON, encore NON et toujours NON à la mère des aberrations, que le système veut leur faire avaler. Arc-en-ciel, Le PMC, sera à leurs côtés et le dénoncera, avec force, à la face du monde entier, quel qu'en sera le prix.
Après THIAMBENE, si d'autres dénis sont commis contre quelques mauritaniens que se soit, où qu'ils se trouveront, de son côté oriental, occidental, boréal ou austral, Arc-en-ciel,Le PMC, s'y rendra pour leur manifester sa solidarité et son soutien patriotique.
Président Balas
à sa sortie du commissariat de police de Boghé.