
Selon le Pr Otoma Soumaré, l’incident de la faculté de médecine survenu mercredi passé, opposant le professeur Mogueya à un groupe de professeurs de l’enseignement supérieur, n’est pas lié au positionnement politique des parties concernées.
Le Professeur qui parlait à des journalistes, au cours d’un point de presse organisé mercredi, à Nouakchott, a souligné que le syndicat des professeurs de l’enseignement supérieur comprend, aussi bien des éléments de la majorité, que d’autres de l’opposition.
Et Soumaré d’ajouter que l’arrestation des professeurs libérés mardi soir, ne concerne en rien le problème la fermeture de la fac de médecine de l’Université Internationale du Liban de Nouakchott , précisant que « les professeurs étaient en sit-in de protestation devant la faculté en vue d’exiger la soumission de la faculté de médecine de l’université de Nouakchott aux règlements de l’enseignement supérieur en vigueur en Mauritanie ».
Le Pr Soumaré a vivement critiqué l’attitude des autorités mauritaniennes qui, selon lui, « ont réservé un traitement de faveur à l’autre partie (Pr Mogueyé, ndlr) qu’elle entendaient à partir de son domicile, au moment où nous étions détenus pendant 48 heures dans des conditions déplorables ». Pis que cela, surenchérit Le Pr Soumaré, « tout cela a été fait dans le mépris total de la plainte déposée par le syndicat de l’enseignement supérieur contre l’agresseur et sans la moindre explication des motifs de notre garde à vue ».
Source: ANI
Le Professeur qui parlait à des journalistes, au cours d’un point de presse organisé mercredi, à Nouakchott, a souligné que le syndicat des professeurs de l’enseignement supérieur comprend, aussi bien des éléments de la majorité, que d’autres de l’opposition.
Et Soumaré d’ajouter que l’arrestation des professeurs libérés mardi soir, ne concerne en rien le problème la fermeture de la fac de médecine de l’Université Internationale du Liban de Nouakchott , précisant que « les professeurs étaient en sit-in de protestation devant la faculté en vue d’exiger la soumission de la faculté de médecine de l’université de Nouakchott aux règlements de l’enseignement supérieur en vigueur en Mauritanie ».
Le Pr Soumaré a vivement critiqué l’attitude des autorités mauritaniennes qui, selon lui, « ont réservé un traitement de faveur à l’autre partie (Pr Mogueyé, ndlr) qu’elle entendaient à partir de son domicile, au moment où nous étions détenus pendant 48 heures dans des conditions déplorables ». Pis que cela, surenchérit Le Pr Soumaré, « tout cela a été fait dans le mépris total de la plainte déposée par le syndicat de l’enseignement supérieur contre l’agresseur et sans la moindre explication des motifs de notre garde à vue ».
Source: ANI