Le Syndicat des journalistes professionnels en Mauritanie a organisé mardi soir à Nouakchott une rencontre autour du « Plaidoyer parlementaire en faveur des causes de la presse », a constaté APA sur place.
Cette rencontre à laquelle ont pris part des journalistes et des parlementaires a permis au président du Syndicat, El Hussein Ould Medou, de passer en revue les principaux problèmes qui entravent l’accomplissement du travail des journalistes dans de bonnes conditions.
Ould Medou a notamment appelé à la constitution d’un groupe parlementaire de plaidoyer en faveur des « hommes de l’information en Mauritanie pour défendre leurs causes justes qui servent l’intérêt suprême du pays ».
Trois principales doléances ont été exprimées à cette occasion : la suppression de la sanction d’emprisonnement dans les affaires de publication, l’approbation de la loi sur la subvention publique à la presse indépendante et l’approbation de la loi sur la libéralisation de l’audiovisuel.
Prenant la parole au cours de la rencontre, le député Abderrahmane Ould Mini a considéré que la situation est à peu près semblable dans tous les secteurs dès lors que le régime en place ne respecte pas les institutions. « Nous avons besoin d’avoir un parlement valable, en mesure de jouer son rôle », a ajouté Ould Mini, membre du Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah.
Source : APA
Cette rencontre à laquelle ont pris part des journalistes et des parlementaires a permis au président du Syndicat, El Hussein Ould Medou, de passer en revue les principaux problèmes qui entravent l’accomplissement du travail des journalistes dans de bonnes conditions.
Ould Medou a notamment appelé à la constitution d’un groupe parlementaire de plaidoyer en faveur des « hommes de l’information en Mauritanie pour défendre leurs causes justes qui servent l’intérêt suprême du pays ».
Trois principales doléances ont été exprimées à cette occasion : la suppression de la sanction d’emprisonnement dans les affaires de publication, l’approbation de la loi sur la subvention publique à la presse indépendante et l’approbation de la loi sur la libéralisation de l’audiovisuel.
Prenant la parole au cours de la rencontre, le député Abderrahmane Ould Mini a considéré que la situation est à peu près semblable dans tous les secteurs dès lors que le régime en place ne respecte pas les institutions. « Nous avons besoin d’avoir un parlement valable, en mesure de jouer son rôle », a ajouté Ould Mini, membre du Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah.
Source : APA
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