La presse parue en Mauritanie cette semaine a commenté les problèmes rencontrés dans le cadre des contacts préliminaires visant à nouer un dialogue entre le pouvoir et l’opposition, à la suite d’un appel lancé par le président, Mohamed Ould Abdel Aziz, le 04 janvier dernier.
Dans sa livraison du mercredi, l’hebdomadaire «Le Calame» annonce à la Une «dialogue politique : la délégation du FNDU récusée».
Le Forum National pour la Démocratie et l’Unité (FNDU) est un vaste rassemblement de partis politiques, organisations de la société civile, centrales syndicales et personnalités indépendantes.
Pessimiste, ce journal note que «le mince espoir qu’on fondait sur la décrispation de la scène politique-à travers un dialogue pouvoir/opposition part à vau-l’eau. D’autant que la toute première rencontre prévue jeudi dernier entre les 2 parties, a été reportée à la demande de la majorité qui ne serait pas satisfaite du niveau de représentation de l’opposition».
Abondant dans le même sens, le quotidien «l’Authentique» du jeudi annonce que «la guerre est enclenchée». Purement médiatique, celle-ci émane de certains segments de la majorité menant une campagne de dénigrement» dont l’objectif «est d’imputer la responsabilité de l’échec de la tentative de nouer le dialogue à l’opposition».
En fait, poursuit ce journal, «depuis le temps de Taya (ancien président) jusqu’au règne d’Aziz, la méthode reste la même : diaboliser l’opposition à chaque fois que l’occasion est donnée, souffler le chaud et le froid, avec l’unique objectif de plaire au maître».
Ton similaire dans les colonnes de l’hebdomadaire «Biladi» du mercredi, qui relève «une panne de moteur dans les rapports pouvoir/opposition» avec le risque de déboucher sur «un dialogue politique mort-né». Le même organe ajoute qu’un tel constat «n’est pas une surprise».
Source:http://mauriweb.info
Dans sa livraison du mercredi, l’hebdomadaire «Le Calame» annonce à la Une «dialogue politique : la délégation du FNDU récusée».
Le Forum National pour la Démocratie et l’Unité (FNDU) est un vaste rassemblement de partis politiques, organisations de la société civile, centrales syndicales et personnalités indépendantes.
Pessimiste, ce journal note que «le mince espoir qu’on fondait sur la décrispation de la scène politique-à travers un dialogue pouvoir/opposition part à vau-l’eau. D’autant que la toute première rencontre prévue jeudi dernier entre les 2 parties, a été reportée à la demande de la majorité qui ne serait pas satisfaite du niveau de représentation de l’opposition».
Abondant dans le même sens, le quotidien «l’Authentique» du jeudi annonce que «la guerre est enclenchée». Purement médiatique, celle-ci émane de certains segments de la majorité menant une campagne de dénigrement» dont l’objectif «est d’imputer la responsabilité de l’échec de la tentative de nouer le dialogue à l’opposition».
En fait, poursuit ce journal, «depuis le temps de Taya (ancien président) jusqu’au règne d’Aziz, la méthode reste la même : diaboliser l’opposition à chaque fois que l’occasion est donnée, souffler le chaud et le froid, avec l’unique objectif de plaire au maître».
Ton similaire dans les colonnes de l’hebdomadaire «Biladi» du mercredi, qui relève «une panne de moteur dans les rapports pouvoir/opposition» avec le risque de déboucher sur «un dialogue politique mort-né». Le même organe ajoute qu’un tel constat «n’est pas une surprise».
Source:http://mauriweb.info