
L’Association Mauritanienne des Pratiques ayant des Effets sur la Santé de la Femme et de l’Enfant(AMPSFE) organise, à son siège social du 9 au 12 novembre , en collaboration avec l’Agence de coopération espagnole, des journées de formation et de sensibilisation sur les Mitulations Génitales Féminines(MGF) en faveur de journalistes de la presse indépendante et privée.
L’objectif de cet atelier, est, selon ses organisateurs, donner aux journalistes des informations sur les MGF pour qu’il puisse participer activement à sensibiliser l’opinion sur les dangers de cette pratiques et ses conséquences sociales et sanitaires néfastes.
Prenant la parole à l’ouverture de cet atelier M. Hacen N’Diouk, coordianteur de cette ONG,a indiqué que les Mutilation Génitales Féminines constituent aussi bien un problème de santé qu’un problème de société.
Il a poursuit-il été connu depuis la période des pharaons d’Egypte, puis en Europe, notamment en Suisse, en France et en Angleterre où il fut pratiqué comme thérapie pour soigner certaines infections. Il demeure largement répandu dans les sociétés africaines où on lui consacre, dans certains cas un rituel, comme c’est le cas dans la région de Tambacounda.
M. N’Diouk ajoutera que cette pratique reste fortement ancrée dans la société mauritanienne où elle demeure justifiée par un argumentaire basée sur des idées reçues et même une fausse interprétation de certains textes religieux.
Source : ANI
L’objectif de cet atelier, est, selon ses organisateurs, donner aux journalistes des informations sur les MGF pour qu’il puisse participer activement à sensibiliser l’opinion sur les dangers de cette pratiques et ses conséquences sociales et sanitaires néfastes.
Prenant la parole à l’ouverture de cet atelier M. Hacen N’Diouk, coordianteur de cette ONG,a indiqué que les Mutilation Génitales Féminines constituent aussi bien un problème de santé qu’un problème de société.
Il a poursuit-il été connu depuis la période des pharaons d’Egypte, puis en Europe, notamment en Suisse, en France et en Angleterre où il fut pratiqué comme thérapie pour soigner certaines infections. Il demeure largement répandu dans les sociétés africaines où on lui consacre, dans certains cas un rituel, comme c’est le cas dans la région de Tambacounda.
M. N’Diouk ajoutera que cette pratique reste fortement ancrée dans la société mauritanienne où elle demeure justifiée par un argumentaire basée sur des idées reçues et même une fausse interprétation de certains textes religieux.
Source : ANI