
En raison d’un imaginaire colonial toujours vivace, aussi bien à droitequ’à gauche, il se dégage souvent de la polique africaine de La Francece parfum un peu rance d’une diplomae paternaliste qui considère sesanciennes colonies devenues indépendantes depuis plus d’un demi-siècle comme inaptes à conduire des états indépendants, toujours enproie aux lu"es ethniques, incapables de régler leurs propres problèmesinternes sans l’intervenon de l’ancienne puissance coloniale, réves àla démocrae et à l’état de droit.C’est du moins ce re%exe hérité de la Françafrique qui expliquerait larécente audience accordée par Thomas Melonio de la cellule Afrique del’Elysée à Birame Ould Dah accompagné du sulfureux avocat français,William Bourdon.Car aucune autre explicaon plausible ne peut jus'er ce"e audiencepour le moins saugrenue. Ni la problémaque des séquelles de l’esclavage en Mauritanie, objetprésumé de ce"e rencontre, car son exrpaon est aujourd’hui bienengagée grâce à la mise en œuvre vigoureuse d’un programmemuldimensionnel du gouvernement, et dont les résultats substanelssont d’ores et déjà percepbles ; résultats que conforte et renforcel’édi'caon d’un Etat républicain, égalitaire, démocraque etdistributeur des fruits de la croissance, largement entamé aujourd’huien Mauritanie par le président Mohamed Ould Abdel Aziz et qui est, endernière analyse, le seul cadre à même d’exrper radicalement cesséquelles.
Ni l’existence d’une impasse polique, de quelque nature qu’elle soit,tant le pays connait régulièrement des élecons démocraques ettransparentes, présidenelles, législaves et municipales ; mieux, unpays qui vient d’organiser un dialogue naonal inclusif auquel ontparcipé la majorité et l’ossature de l’opposion, la société civile, lespersonnalités indépendantes, et dont les résultats ont embrassé tous lesproblèmes naonaux sans exclusif, y compris les séquelles de l’esclavage.Un dialogue boudé pour des raisons oiseuses par une in'me frange denotre opposion avec à sa tête ceux qui instrumentalisent l’esclavagepour des 'ns strictement personnelles comme Birame Ould Abeid etconsort ; et qui sont aidés et encadrés dans ce"e vile besogne parquelques pseudo-intellectuels en mal d’angélisme, avides de notoriétépolico-académique, comme maitre William Bourdon, qui est parailleurs étroitement lié, pour des raisons bien connues, avec unecertaine opposion mauritanienne de la vingt cinquième heure vivant àl’étranger. Ni par une quelconque brouille diplomaque, tant les relaons d’amiéet de coopéraon existant entre la Mauritanie et la France sontexcellentes à tous égards; des relaons qui puisent leur force dans unpassé aujourd’hui assimilé mais aussi, et surtout, bien moulées dansune aspiraon commune à la paix, à la jusce, à la démocrae, à lasécurité, et dans la lu"e implacable contre le terrorisme et l’extrémismecomme véritables %éaux de notre siècle. De grands principes amplement partagés et que nous devons préserverde toute iniave inhibitrice.
Docteur Abdallahi Ould Nem
Ni l’existence d’une impasse polique, de quelque nature qu’elle soit,tant le pays connait régulièrement des élecons démocraques ettransparentes, présidenelles, législaves et municipales ; mieux, unpays qui vient d’organiser un dialogue naonal inclusif auquel ontparcipé la majorité et l’ossature de l’opposion, la société civile, lespersonnalités indépendantes, et dont les résultats ont embrassé tous lesproblèmes naonaux sans exclusif, y compris les séquelles de l’esclavage.Un dialogue boudé pour des raisons oiseuses par une in'me frange denotre opposion avec à sa tête ceux qui instrumentalisent l’esclavagepour des 'ns strictement personnelles comme Birame Ould Abeid etconsort ; et qui sont aidés et encadrés dans ce"e vile besogne parquelques pseudo-intellectuels en mal d’angélisme, avides de notoriétépolico-académique, comme maitre William Bourdon, qui est parailleurs étroitement lié, pour des raisons bien connues, avec unecertaine opposion mauritanienne de la vingt cinquième heure vivant àl’étranger. Ni par une quelconque brouille diplomaque, tant les relaons d’amiéet de coopéraon existant entre la Mauritanie et la France sontexcellentes à tous égards; des relaons qui puisent leur force dans unpassé aujourd’hui assimilé mais aussi, et surtout, bien moulées dansune aspiraon commune à la paix, à la jusce, à la démocrae, à lasécurité, et dans la lu"e implacable contre le terrorisme et l’extrémismecomme véritables %éaux de notre siècle. De grands principes amplement partagés et que nous devons préserverde toute iniave inhibitrice.
Docteur Abdallahi Ould Nem