Dans la bataille pour la conquête de la primature, tous les moyens sont bons, tous les coups, même les plus inimaginables sont permis pour arriver à ses fins. Dans l’entourage du président Mohamed Ould Abdel Aziz , on peut être sûr d’une chose : c’est qu’on ne se fera aucun cadeau.
Dans cette perspective, sous les lambris dorés du palais présidentiel, des clans se forment selon qu’on soutienne tel ou tel autre prétendant, et subséquemment qu’on veuille éloigner les concurrents surtout ceux qui sont les plus en vue pour le poste.
1. D’abord, il y a le clan du ‘’ statu quo’’, réfractaire à tout chambardement à issue incertaine. C’est le clan favorable au maintien de la veille garde, incontournable, de Yahya Ould Hademine, qui incarne l’esprit de la vieille école de l’administration mauritanienne.
Malgré son bilan pauvre en termes de réalisations, de programmes et de propositions d’actions positives, Yahya Ould Hademine, s’accroche au fauteuil de la primature et esquive les coups des ses détracteurs. Il a le soutien des lobbies financiers de la République. Certains le surnomment le second Premier Ministre Inamovible des gouvernements de Mohamed Ould Abdel Aziz.
2. Ensuite, le clan du Docteur Moulaye Ould Mohamed Laghdaf qui est en ascension ce derniers mois. Ce clan a été motivé par le dossier du dialogue retiré du premier ministre actuel et confié à leur chef de file, en l’occurrence du Ministre Secrétaire Général de la présidence.
Aussi, la défection de certains membres du RFD reconstituée au sein du Parti de l'Alliance nationale Démocratique, est comptabilisée pur le compte de ce clan. Une nomination récidive de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf à la primature est probable eu égard à la confiance dont il jouit de la part du Président de la République et sa bonne gestion des dossiers dont il a la charge est à prendre en considération.
Par ailleurs, il y a le clan des challengers, en faveur d’un nouveau ‘’leadership plus conquérant et jeune’’. C’est celui-là qui est favorable à l’avènement d’un nouveau leadership à la tête du gouvernement, capable de porter plus loin et plus haut des réformes de tout acabit, capable de ramener et de fouetter la croissance économique, d’impulser le développement de grands pôles économiques, de mobiliser plus d’investisseurs, bref de provoquer un véritable électrochoc dans la conduite de la gouvernance. Au delà des classiques rivalités de yahya Ould Hademine et Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, plusieurs challengers de poids sont dans la course à la primature. Parmi lesquels :
3. Dia Moctar Mallal, comptable de formation, il a servi au trésor public et à Tel-Aviv, Ministre déglué chargé de l’enseignement fondamental, ministre secrétaire général du Gouvernement, Ministre secrétaire Général de la Présidence et il occupe le poste de Ministre de l’emploi et la formation Professionnelle et des Nouvelles Technologies de l’Information.
Un jeune cadre de la vallée capable de créer la surprise par son tact et son intelligence. Aussi, il se peut que Monsieur Dia, soit le premier négro mauritanien Premier Ministre.
4. Naha Mint Mouknass, la fille d’un ancien diplomate, présidente du parti l'Union pour la Démocratie et le Progrès (l'UDP) Ministre conseiller à la présidence de Maouiya Ould Sid’ahmed Taya, député, ministre des affairés étrangères et de la coopération et actuellement ministre du commerce. C’est une dame, originaire, de port- Etienne, courtoise et intelligente. Elle a un parcours politique à mesure de lui permettre de briguer le poste de la première dame premier Ministre.
5. Isselkou Ould Ahmed Izid Bih, a occupé des postes importants : Président de l’Université de Nouakchott, directeur de Cabinet du Président, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique, Président du parti Union Pour la République, Ministre de l’Equipement et des Transports et présentement, présentement, Président du Conseil National de la Régulation. Cet universitaire cartésien est un homme intelligent, intègre, propre, moderne et calculateur.
Certains protagonistes lui reproche sa sincérité, sa franchise, son inflexibilité avec les lascars du système. Aussi, il s’implique de trop dans la vie universitaire des enseignants, des étudiants, des syndicats de l’enseignement supérieur….
Par ailleurs, il est connu par son clanisme disproportionné. Sa force la clarté des idées et sa puissance de convaincre. Aussi, il se distingue par une discrétion hors pair et la maîtrise des rouges techniques et politiques de l’Etat. Ce cadre originaire de la Wilaya du Hod Charghi était plusieurs fois pressenti à la primature. Il pourrait être chargé, par son excellence le Président de la république, de former le prochain gouvernement.
6. Mohmed Salem Ould Merzoug, un militant du mouvement El Hor, consultant international, universitaire géographe et ancien militant de l’UFD
Source : Sidi Mohamed El Mehdi
Dans cette perspective, sous les lambris dorés du palais présidentiel, des clans se forment selon qu’on soutienne tel ou tel autre prétendant, et subséquemment qu’on veuille éloigner les concurrents surtout ceux qui sont les plus en vue pour le poste.
1. D’abord, il y a le clan du ‘’ statu quo’’, réfractaire à tout chambardement à issue incertaine. C’est le clan favorable au maintien de la veille garde, incontournable, de Yahya Ould Hademine, qui incarne l’esprit de la vieille école de l’administration mauritanienne.
Malgré son bilan pauvre en termes de réalisations, de programmes et de propositions d’actions positives, Yahya Ould Hademine, s’accroche au fauteuil de la primature et esquive les coups des ses détracteurs. Il a le soutien des lobbies financiers de la République. Certains le surnomment le second Premier Ministre Inamovible des gouvernements de Mohamed Ould Abdel Aziz.
2. Ensuite, le clan du Docteur Moulaye Ould Mohamed Laghdaf qui est en ascension ce derniers mois. Ce clan a été motivé par le dossier du dialogue retiré du premier ministre actuel et confié à leur chef de file, en l’occurrence du Ministre Secrétaire Général de la présidence.
Aussi, la défection de certains membres du RFD reconstituée au sein du Parti de l'Alliance nationale Démocratique, est comptabilisée pur le compte de ce clan. Une nomination récidive de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf à la primature est probable eu égard à la confiance dont il jouit de la part du Président de la République et sa bonne gestion des dossiers dont il a la charge est à prendre en considération.
Par ailleurs, il y a le clan des challengers, en faveur d’un nouveau ‘’leadership plus conquérant et jeune’’. C’est celui-là qui est favorable à l’avènement d’un nouveau leadership à la tête du gouvernement, capable de porter plus loin et plus haut des réformes de tout acabit, capable de ramener et de fouetter la croissance économique, d’impulser le développement de grands pôles économiques, de mobiliser plus d’investisseurs, bref de provoquer un véritable électrochoc dans la conduite de la gouvernance. Au delà des classiques rivalités de yahya Ould Hademine et Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, plusieurs challengers de poids sont dans la course à la primature. Parmi lesquels :
3. Dia Moctar Mallal, comptable de formation, il a servi au trésor public et à Tel-Aviv, Ministre déglué chargé de l’enseignement fondamental, ministre secrétaire général du Gouvernement, Ministre secrétaire Général de la Présidence et il occupe le poste de Ministre de l’emploi et la formation Professionnelle et des Nouvelles Technologies de l’Information.
Un jeune cadre de la vallée capable de créer la surprise par son tact et son intelligence. Aussi, il se peut que Monsieur Dia, soit le premier négro mauritanien Premier Ministre.
4. Naha Mint Mouknass, la fille d’un ancien diplomate, présidente du parti l'Union pour la Démocratie et le Progrès (l'UDP) Ministre conseiller à la présidence de Maouiya Ould Sid’ahmed Taya, député, ministre des affairés étrangères et de la coopération et actuellement ministre du commerce. C’est une dame, originaire, de port- Etienne, courtoise et intelligente. Elle a un parcours politique à mesure de lui permettre de briguer le poste de la première dame premier Ministre.
5. Isselkou Ould Ahmed Izid Bih, a occupé des postes importants : Président de l’Université de Nouakchott, directeur de Cabinet du Président, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique, Président du parti Union Pour la République, Ministre de l’Equipement et des Transports et présentement, présentement, Président du Conseil National de la Régulation. Cet universitaire cartésien est un homme intelligent, intègre, propre, moderne et calculateur.
Certains protagonistes lui reproche sa sincérité, sa franchise, son inflexibilité avec les lascars du système. Aussi, il s’implique de trop dans la vie universitaire des enseignants, des étudiants, des syndicats de l’enseignement supérieur….
Par ailleurs, il est connu par son clanisme disproportionné. Sa force la clarté des idées et sa puissance de convaincre. Aussi, il se distingue par une discrétion hors pair et la maîtrise des rouges techniques et politiques de l’Etat. Ce cadre originaire de la Wilaya du Hod Charghi était plusieurs fois pressenti à la primature. Il pourrait être chargé, par son excellence le Président de la république, de former le prochain gouvernement.
6. Mohmed Salem Ould Merzoug, un militant du mouvement El Hor, consultant international, universitaire géographe et ancien militant de l’UFD
Source : Sidi Mohamed El Mehdi