L’Africanité n’est couleur d’humains ou d’espèces vivantes.



L’Africanité n’est couleur d’humains ou d’espèces vivantes.
Biens d’étrangers, d’autres nés sur le sol africain, plus au moins sincères dans leurs actions et/ou déçus des charges contre l’Afrique, l’Africain, le Noir, épousent dans leur quotidien en tout fraternalisme et conviction, le devoir d’humanité d’évolution de ce continent, sans pour autant faire preuve et/ou baigner dans l’invective de bas échelle à l’égard de ceux aux intentions maléfiques sur l’Afrique.


Ce n’est le qui veut...

Des interrogations de l’Homme sur sa genèse, il apparaît en l’état actuel des connaissances qu’il aurait pris naissance sur les terres africaines, avant des exodes plus ou moins volontaire.

Du même souci d’information, il en ressort que le continent dénommé Afrique par certains dans leur élan de cartographie, d’identification et d’administration des peuples, soit le terreau de l’espèce vivante à représentation noire.

La construction d’esprit, l’évolution sociétaire, la redéfinition communautaire de l’Homme ne fut et n’est le fruit de paisible entente.
Ce que le quotidien africain d’une part exprime durablement par le formatage persistant d’esprit de ses enfants dans les voies étrangères comme salut d’avenir , en décadence de dignité, de fierté, d’honneur etc. ; D’autre part de l’oppression des vertus sociétaires étrangères en garantie d’affaiblissement et d’avilissement ; Tout comme sa communautarisation définie sans son assentiment, embellie d’exaltation de nationalismes et autres patriotismes en certitude de division.

Tout cela représentant l’étendu du sens des combats africains pour leur juste réintégration égalitaire dans ce monde fraternel.
Voilà qu’il est avec persistance remuée une ignoble querelle entre africains et Noirs d’îles étrangères d’Afrique et ceux du géant ponctuel dit américain (USA) en renfort de dispersion déstabilisante.

Sans s’attarder sur le simplisme des joutes de clocher, allant de l’évocation antillaise de rancœur tirée de la vente de leur lointain parents africains aux enfers des besognes et revendication en conséquence, d’intégration étrangère et métissage à profusion, a une culture et identité nouvelle. Et de la manifestation d’outrage des Noirs des Usa, revendiquant un particularisme ne pouvant se confondre à l’Africain dont-il considère pour son respect qu’il est insultant de l’amalgamer, exprimant dans son langage courant le mot africain en synonyme de minable.

Malheureusement Obama qui se revendique de cette castre n’est là où il est que de stratégie étrangère et non du choix dominant, de la perspicacité, consécration de ces derniers.

D’un autre simplisme d’observation, il apparaît que ces Noirs spécifiques, sont pour la représentation de ceux des îles maintenues dans leur spécificité via des perfusions insidieuses (politiques, administratives, économiques, structurelles) bienfaisantes et empreintes de mansuétudes à l’égard de ceux dont-ils réclament la vivante intégration, à l’image d’un patient dépendant de perfusion pour son rétablissement (faut espérer bon et définitif). Ceux des Usa paraissent cantonnés dans un environnement de vase clos, rappelant la réalité d’une prison où la survie se gagne au prix du respect soumissionnaire du maton à défaut de s’entretuer.

Bien qu’il ne soit là matière à s’esclaffer, l’on ne saurait se réjouir humainement, sauf stratégies, du malheur des autres, il n’en reste pas moins que l’Afrique dont à pu esquisser ci-dessus l’ampleur des tâches qui pèsent sur elle au regard de la nécessité de poursuivre la résurgence efficace de l’identité Noire, n’entend pas s’inscrire en priorité dans cette bataille historique sous teneur d’affaiblissement.
Tant il est vrai que l’on réalise l’antidote, le sérum avec le sang du malade, il convient que la manipulation de ce sang ne soit réalisée contre le malade.

L’Afrique est une terre généreuse en tout point, ce qui fut et est en permanence l’objet de sa convoitise, et que des affûtés entendent à bon escient instrumentaliser en division de ses enfants dans des perditions en exacerbant les rivalités, ainsi l’on ne décompte plus le nombre d’Africains victimes de ces richesses. C’est cette richesse humaine (capacité physique et talent cf. sous les cieux soudanais et égyptiens) qui conduit à l’exode forcé de ceux des îles et autres. C’est la découverte tardive pour certains (sinon la déportation aurait été faite sans scrupule) de ses richesses souterraines qui galvanisent son sous développement orchestré sciemment et dont l’élan de division cette fois-ci interafricaine se concrétise par l’exode orchestré (déportation subtilement stratégique) dit structuro-économique sous les cieux étrangers, en renfort d’invectives interafricaines tirées de bienfaits des sociétés étrangères.

Ainsi, bien que les questions de santé et d’emprisonnement ne sont prioritaire dans les luttent d’évolutions sociétaires de tout temps, exception faite de période dite d’accalmie, à défaut de pourvoir à l’image de l’Australie terre d’individus parias déportés du Royaume-Uni et autres Etats occidentaux d’époque, faire preuve de réussite, il serait préférable que les Noirs se délaissent de tout soutien aux tactiques étrangères visant à nuire en profondeur la terre de repos de leurs ancêtres à tous.

Biens d’étrangers, d’autres nés sur le sol africain, plus au moins sincères dans leurs actions et/ou déçus des charges contre l’Afrique, l’Africain, le Noir, épousent dans leur quotidien en tout fraternalisme et conviction, le devoir d’humanité d’évolution de ce continent, sans pour autant faire preuve et/ou baigner dans l’invective de bas échelle à l’égard de ceux aux intentions maléfiques sur l’Afrique.

Tant il peut être vrai que les concepts de force de l’union, de cohésion salutaire puissent n’être qu’en premier du ressort philosophique, il apparaît en absolu nécessité que les Noirs de l’étranger (par rapport à l’Afrique) puissent s’affubler de porte drapeau communautaire, en participation au devoir indélébile d’africanité et à défaut de pouvoir se soustraire aux contraintes de leur subtile intégration avilissante, qu’ils s’inscrivent dans les voies de rapprochement pour la réalisation du respect de leur personne et communauté.

Il n’est de doute que leur quotidien n’est glorieux, tout comme celui des africains, quand bien même il peuvent se flatter d’être convoité de tous cotés. Dans ce sens il est fort préférable qu’à l’image des étrangers tribuns sous l’ère romaine, brillant en distraction romaine dans les artères d’amphithéâtres en gladiateurs et autres saltimbanques, et singulièrement d’actualité par l’empressement à distraire de leur talent physique (footballeur, sprinteur etc.) ou se mettre en disponibilité de servilité étrangère (nombre de travailleurs talentueux sous le soleil étranger), qu’ils soient de concert avec tous ceux qui s’y intéressent démenti l’instrumentalisation du NOIR.
Pour la petite histoire sous l’ère égyptienne, la compétition était avant tout signe de vitalité et n’était ouvert qu’exceptionnellement à l’étranger.

En finalité, il est à rappeler le désenchantement de bien de Noir ayant voulu de toutes forces se travestir dans la peau étrangère, à l’image de la volte face du feu grand Michael Jackson, qui fini par revendiquer outrageusement ses racines africaines. Tout comme le feu Aimé Césaire qui épousant la lutte de sortir les peules des îles des duperies étrangères. Tout récemment de Koffi Yamgname cartographié comme ressortissant du Togo et qui après avoir servir au plus hautes sphères administratives étrangères (premier maire noir en France, secrétaire d’Etat avec rang de ministre, député etc.) voudrait en réminiscence de péché servir le Togo (nombreux sont-ils qui exposent en dénonciations tous azimuts, frustrations de l’échec de leur intégration et/ou croyance qui s’en remettent à tapager sur l’Afrique). Sans oublier l’athlète Eunice Barber, d’heptathlon qui après avoir servi fièrement l’étranger, déploie une morgue haineuse à son encontre et tous ces athlètes (Marie José Perec etc.) des îles qui ne cherchent que refuge ailleurs.

Le succès n’étant que très souvent le fruit de la division, il importe que les Noirs qui souhaitent se pourfendre à l’étranger s’y inscrivent efficacement tel les parias d’Australie et se détachent de toutes intentions manipulatoires à l’égard de ceux d’Afrique qui ne peuvent s’adjoindre sainement leurs fardeaux et/ou échecs.

Les Africains ont déjà bien à faire dans leur combat de résurgence pour s’additionner des railleries primaires, la divergence d’esprit est source de richesse pour qui veut le bonheur communautaire. Les australiens ne se cantonnent pas en rancœur et autres dénonciations d’avoir été déportés, ils contribuent aux actions politiques et économiques de défense de leur communauté identitaire (participation aux guerres dites de paix : IIème guerre mondiale, Irak etc.).
Tapa Joseph

Source:

www.dabio.net

Dimanche 18 Octobre 2009
Boolumbal Boolumbal
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