Ibrahima SARR invité en tant qu'homme de culture par la télévision 2STV pour parler du pulaagu, c'est à dire l'identité peulhe.Cette émission a été enregistrée quelque temps avant le coup d'Etat du 6 août 2008. A la fin de son intervention, Ibrahima SARR demande aux traditionalistes Farba SECK et Samba TieDel de rétablir la vérité sur le moudo horma. Selon beaucoup d'écrits, ce tribut était versé par les Foutankés à l'émirat maure du Trarza.
Farba SECK, par une élégante bifurcation, présente d'abord l'illustre invité à l'assistance. Ibrahima Moctar Daré Sarr n'est autre que le petit-fils de Aali Haw, ce combattant courageux capturé par les français et qui pour se libérer de ses chaînes aux pieds, coupa une de ses jambes et continua à résister à la pénétration française. Aali Haw est le père de Daré.
En réalité, le moudo horma était versé au Satigui, sous la dynastie denianke renversée par Tierno Souleymane Bal, le fondateur en 1776 de la République théocratique du Fouta.
Sotéré, le père du résistant Aali Haw, a étudié avec Tierno Souleymane dans la même école coranique. Voilà une histoire de l'Afrique par des africains.
Farba SECK, par une élégante bifurcation, présente d'abord l'illustre invité à l'assistance. Ibrahima Moctar Daré Sarr n'est autre que le petit-fils de Aali Haw, ce combattant courageux capturé par les français et qui pour se libérer de ses chaînes aux pieds, coupa une de ses jambes et continua à résister à la pénétration française. Aali Haw est le père de Daré.
En réalité, le moudo horma était versé au Satigui, sous la dynastie denianke renversée par Tierno Souleymane Bal, le fondateur en 1776 de la République théocratique du Fouta.
Sotéré, le père du résistant Aali Haw, a étudié avec Tierno Souleymane dans la même école coranique. Voilà une histoire de l'Afrique par des africains.