
- Les conseillers municipaux des 15 circonscriptions électorales concernées par le renouvellement partiel du Sénat (chambre haute du Parlement mauritanien) ont commencé à voter dimanche à 8 heures (locales et GMT), a constaté la PANA dans la préfecture de Dar Naim (banlieue de Nouakchott).
Deux grandes coalitions épousant les contours majorité-opposition s'affrontent dans le cadre de ces élections sénatoriales.
Il s'agit de l'Union pour la République (UPR, au pouvoir), qui s'est alliée avec le Rassemblement national pour la réforme et le développement (RNRD- Tawassoul-mouvance islamiste modérée) et le HATEM. Le Mouvement pour la refondation (MPR) a appelé à voter en faveur des listes de cette coalition.
Partenaire de la majorité au gouvernement, l'Union pour la démocratie et le progrès (UDP) présente des candidats contre l'UPR dans certaines circonscriptions, notamment celle de Kaédi.
L'opposition a dénoncé l'achat des consciences et la corruption, deux pratiques imputées au parti au pouvoir, dans une déclaration publiée samedi.
Un conseiller municipal privé du droit de vote pour avoir présenté le duplicata d'une Carte nationale d'identité proteste vivement contre la décision du président de vote "motivée" simplement par son statut d'opposant.
En dépit de cette situation, La coalition de l'opposition reste optimiste.
"Nous avons l'espoir de faire élire deux sénateurs sur un total de 3", a déclaré à la PANA Mohamed Ould Samba, un haut responsable de l'Alliance populaire progressiste (APP), une formation du FNDD.
Le vote du dimanche 8 novembre concerne également l'élection du sénateur représentant la communauté mauritanienne immigrée en Afrique de l'Ouest.
L'élection des sénateurs en Mauritanie est organisée sur la base d'un scrutin majoritaire à deux tours pour toutes les circonscription, à l'exception de Nouakchott et Nouadhibou, les deux plus grandes villes du pays où est appliqué un scrutin proportionnel à un tour.
Le sénat mauritanien compte 56 membres dont le tiers est renouvelé tous les ans.
Source: Mauritanie Web
Deux grandes coalitions épousant les contours majorité-opposition s'affrontent dans le cadre de ces élections sénatoriales.
Il s'agit de l'Union pour la République (UPR, au pouvoir), qui s'est alliée avec le Rassemblement national pour la réforme et le développement (RNRD- Tawassoul-mouvance islamiste modérée) et le HATEM. Le Mouvement pour la refondation (MPR) a appelé à voter en faveur des listes de cette coalition.
Partenaire de la majorité au gouvernement, l'Union pour la démocratie et le progrès (UDP) présente des candidats contre l'UPR dans certaines circonscriptions, notamment celle de Kaédi.
L'opposition a dénoncé l'achat des consciences et la corruption, deux pratiques imputées au parti au pouvoir, dans une déclaration publiée samedi.
Un conseiller municipal privé du droit de vote pour avoir présenté le duplicata d'une Carte nationale d'identité proteste vivement contre la décision du président de vote "motivée" simplement par son statut d'opposant.
En dépit de cette situation, La coalition de l'opposition reste optimiste.
"Nous avons l'espoir de faire élire deux sénateurs sur un total de 3", a déclaré à la PANA Mohamed Ould Samba, un haut responsable de l'Alliance populaire progressiste (APP), une formation du FNDD.
Le vote du dimanche 8 novembre concerne également l'élection du sénateur représentant la communauté mauritanienne immigrée en Afrique de l'Ouest.
L'élection des sénateurs en Mauritanie est organisée sur la base d'un scrutin majoritaire à deux tours pour toutes les circonscription, à l'exception de Nouakchott et Nouadhibou, les deux plus grandes villes du pays où est appliqué un scrutin proportionnel à un tour.
Le sénat mauritanien compte 56 membres dont le tiers est renouvelé tous les ans.
Source: Mauritanie Web