Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a indiqué que la Mauritanie, à l'instar de tous les pays du monde, fonde sur cette conférence un espoir à la hauteur des défis qui doit se réaliser par la réduction des émissions de gaz à effet de serre aux conséquences gravissimes pour la planète.
Il a ajouté dans un discours prononcé mercredi devant le sommet des nations unies sur les changements climatiques à Copenhague que la République Islamique de Mauritanie, comme les autres pays d'Afrique, est particulièrement sujette aux avatars climatiques, appelant à jeter les bases d'une coopération nouvelle entre le nord et le sud qui tienne compte des conséquences désastreuses des changements climatiques.
A cet égard, poursuit le Chef de l'Etat, la République Islamique de Mauritanie qui assure la présidence du Comité Permanent Inter états de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (C I L S S), demande la mise en oeuvre du Plan d'Action de Bali, adopté en décembre 2007, précisant que "l'avenir de la planète est entre nos mains et que nous devons donc assumer cette responsabilité avec rigueur et discernement".
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a aussi réaffirmé que, comme les autres pays d'Afrique, la Mauritanie est particulièrement sujette aux avatars climatiques et que notre capitale, Nouakchott, est menacée du fait de l'érosion des dunes qui constituent une digue naturelle empêchant la ville, située en dessous du niveau de la mer, d'être envahie par les eaux et l'agriculture et l'élevage subissent aussi des dégâts importants.
Il a également ajouté que la sensibilisation des gouvernements et de l'opinion publique sur les dangers du réchauffement climatique pour l'avenir de l'humanité constituait, ces dernières années, une préoccupation majeure pour la communauté internationale, ajoutant que comme tout le monde le sait, le réchauffement climatique cause des dégâts à tous égards catastrophiques pour l'environnement.
"C'est la raison pour laquelle, conclut le Président de la République, nous estimons nécessaire de jeter les bases d'une coopération nouvelle entre le nord et le sud qui tienne compte des conséquences désastreuses des changements climatiques, avant de souhaiter que les travaux aboutissent à la conclusion d'un accord global sur le système climatique pour l'après 2012".
Source:AMI
Il a ajouté dans un discours prononcé mercredi devant le sommet des nations unies sur les changements climatiques à Copenhague que la République Islamique de Mauritanie, comme les autres pays d'Afrique, est particulièrement sujette aux avatars climatiques, appelant à jeter les bases d'une coopération nouvelle entre le nord et le sud qui tienne compte des conséquences désastreuses des changements climatiques.
A cet égard, poursuit le Chef de l'Etat, la République Islamique de Mauritanie qui assure la présidence du Comité Permanent Inter états de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (C I L S S), demande la mise en oeuvre du Plan d'Action de Bali, adopté en décembre 2007, précisant que "l'avenir de la planète est entre nos mains et que nous devons donc assumer cette responsabilité avec rigueur et discernement".
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a aussi réaffirmé que, comme les autres pays d'Afrique, la Mauritanie est particulièrement sujette aux avatars climatiques et que notre capitale, Nouakchott, est menacée du fait de l'érosion des dunes qui constituent une digue naturelle empêchant la ville, située en dessous du niveau de la mer, d'être envahie par les eaux et l'agriculture et l'élevage subissent aussi des dégâts importants.
Il a également ajouté que la sensibilisation des gouvernements et de l'opinion publique sur les dangers du réchauffement climatique pour l'avenir de l'humanité constituait, ces dernières années, une préoccupation majeure pour la communauté internationale, ajoutant que comme tout le monde le sait, le réchauffement climatique cause des dégâts à tous égards catastrophiques pour l'environnement.
"C'est la raison pour laquelle, conclut le Président de la République, nous estimons nécessaire de jeter les bases d'une coopération nouvelle entre le nord et le sud qui tienne compte des conséquences désastreuses des changements climatiques, avant de souhaiter que les travaux aboutissent à la conclusion d'un accord global sur le système climatique pour l'après 2012".
Source:AMI
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