Tirs croisés contre Cheikh Ould Baya : A qui profite le crime ?

Les ennemis de Cheikh Ould Baya - et Dieu sait qu’ils sont nombreux tous ceux qui ne pardonnent pas à l’homme son engagement patriotique et sa belle réussite politique et professionnelle – ne reculent devant rien. On ne lui pardonne pas, apparemment, d’avoir bien mené les négociations de pêche avec l’Union européenne, et d’avoir pratiquement mis fin aux filières d’immigration clandestine.



Depuis quelques jours, ils tentent vainement de créer le buzz en remettant en cause des lois établies par le gouvernement mauritanien, entre 2007 et 2009, pour lutter efficacement contre le pillage de nos ressources halieutiques, qui, de notoriété publique, était monnaie courante.
Ces personnes tapies dans l’ombre surfent, sans vergogne, sur la clé de répartition des amendes de pêche dont 48% allaient à diverses structures impliquées dans l’ensemble de l’opération. Les esprits maléfiques, qui cachent mal leur exacerbation de voir Cheikh Ould Baya réussir là où plusieurs ont échoué, versent dans l’amalgame en cherchant à faire croire aux profanes que tout cet argent était allé, de 2005 à 2010, dans les caisses de la Délégation pour la surveillance des pêches et le contrôle en mer (DSPCM). Alors qu’il a été réparti, selon la règle stricte édictée par l’arrêté de 2007, modifié par ceux de 2009 et de 2011, entre une foule d’intervenants, après, bien sûr, la coupe des 52% réservés au Trésor public. Il s’agit donc de :
- Des fonctionnaires et agents de constatation et de répression des infractions au code des pêches (aux saisissants à terre, à la délégation à la surveillance des pêches et au contrôle en mer, aux membres des la Commission Consultative de transaction);
- fonds de promotion de la pêche et de la surveillance Maritime ;
- L'équipement et le fonctionnement du Ministère des pêches ;
- Un fonds spécial de lutte contre la fraude et la pêche illégale.
- La Direction régionale Maritime ;
- Aux autres administrations ayant participé utilement à la constatation et à la répression des infractions.
- Des primes spéciales d'encouragement aux saisissants et autres intervenants en fonction du niveau et de la qualité de leurs prestations au niveau de la DSPCM ;
- Le renforcement de la communication dans le cadre de la promotion de la pêche et de la surveillance au niveau du Ministère.

De tous ces bénéficiaires, légaux, il faut bien le préciser, ceux qui manœuvrent dans l’ombre ne retiennent qu’un seul nom : celui de l’actuel maire UPR de Zouérate, Cheikh Ould Baya. Pourquoi ? C’est là toute la question. Surtout que ceux qui s’adonnent à ces manipulations sur le net et mènent des attaques en règle dont la preuve de fausseté est qu’elles sont pratiquement toutes à visages couverts. Et l’on sait que seuls les lâches (et les menteurs) ont peur de la lumière.


Au nom des ressortissants de Zouerate
MOHAMED OULD ABDERRAHMAN


Source: http://fr.saharamedias.net

Mercredi 26 Novembre 2014
Boolumbal Boolumbal
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